XELUAN LIU - VALIDÉE

Histoire : Bonjour, à vous, je me nomme Xeluan, habitante du sud est chinois. Je suis la fille ainée de la famille Liù. Ma famille se compose de ma grand-mère, mon père et ma mèr. Vient ensuite le trio des sœurs dont je suis l’ainée. Je ne vais pas m’en plaindre, elles sont mignonnes comme tous mes petites sœurs chéries.

Je ne vais pas vous mentir, j’ai découvert tôt un amour sans borne pour le sport aquatique. Natation traditionnelle ou synchronisée dès un âge très jeune, puis la plongée d’altitude ou sous-marine par la suite. A peu près tous les sports aquatiques m’allaient comme un gant. Je les pratiquais en club, ou sous la supervision de mes parents qui me poussaient à donner le meilleur de moi. Ma mère est une ancienne nageuse de talent quant à mon père c’est un plongeur bouteille de haut rang. Je poursuivis même cela dans une école sportive spécialisée dans les sports aquatiques qui privilégiait la connaissance de la diversité de sport aquatique plutôt qu’une activité unique. Une école qui formait les couteaux-suisses du milieu aquatique chinois. Ainsi, ce n’était pas des exercices simples la plupart du temps. Mes profs ou mentors, sachant de quoi j’étais capable, n’hésitais pas à me traîner dans mes retranchements. Que ce soit en natation pour toujours plus de vitesse, en synchronisé pour plus de précision et de technique. Ou pouvoir plonger de toujours plus haut avec grâce. Ce n’est alors pas si surprenant que me vienne l’envie d’en faire mon métier. Il me fallait bien un point fort après tout.

Les études ne m’ont jamais vraiment réussie quand il s’agit de cours théorique. Le problème majeur résidait en ma mauvaise mémoire depuis toujours. Enfin rien de catastrophique, sauf en histoire. Impossible de garder toutes les dates et événements en tête. Surtout face aux nombres d’Ere que la chine a connue…. Et à côté de cela, il n’était pas rare que ce petit problème rende folles mes sœurs quand j’oublie des rendez-vous que l’on se donne ou divers petits oublie en plus. Et dire que je faisais pourtant tout mon possible pour leur faire plaisir. Mais ma vie ne tournait pas qu’autour d’elles.

À force de pratiquer les sports aquatiques, j’en étais venu à participer à de nombreuses compétitions et défis au travers le monde, dans mes différents sports de prédilection. Je visais des premières places, ou tentait des records de profondeur. Alors représenter un beau jour mon pays fut un grand honneur. J’avais remporté diverses médailles, malheureusement pas que d’or. Après tout j’avais été confrontée à de grandes sportives dans ces milieux. Mais ce que je retiens le mieux ce fut le soutien indéfectible que m’avaient apporté mes deux sœurs cadettes. Ces deux-là sont de véritables anges ! Même si elles ont toutes deux leurs caractères et goûts bien à elles.

Si les compétitions sont une source infinie d’adrénaline, je préférais en mon fond faire découvrir tous ces sports qui me tenaient tant à cœur, les enseigner et veiller sur de futures sportives, comme on avait veillé sur moi par le passé. J’avais alors 21 ans. Cette décision fut approuvée assez rapidement par mon père, mais ma mère y fit un temps obstacle, voulant me voir participer à plus de compétition tant que j’étais en âge de le faire. Peut-être trouvait-elle que je n’étais pas faite pour enseigner ? J’étais ainsi partagée entre mon affinité pour les défis et mon envie de transmettre.

Convaincre ma mère de mon choix fut alors une priorité. Je ne souhaitais pas mêler mes sœurs à cela. Ma mère me mit au défi de faire aimer la natation à la fille d’une de ses amies. Cela aurait pu être une formalité si elle n’avait déjà pas une phobie des étendues d’eau… Elle m’avait laissé 1 an durant lequel je devais participer a d’autres concours tout en réalisant son défi. Cette Élève avait l’âge de ma plus petite sœur et se traînais ce mal depuis bien longtemps sans que personne n’avait réussi à l’aider dans son problème. Pour moi, ce défi-là était à prendre à cœur. J’aimais tant l’eau, depuis mes premiers pas, que cela me faisait mal au cœur de voir quelqu’un qui en avait peur. Ce ne fut pas simple, agir avec douceur, accompagner cette fille plus jeune, réussir à la fois dans un premier temps à la rassurer proche de l’étendue d’eau. C’était quelque chose d’étrange qui dénotait de tout ce que j’avais pu faire jusque-là, moi qui avais vécu presque toujours à fond dans le sport, sauf quand je pratiquais la plongée avec mon père. Mais étrangement, j’aimais aussi cette approche plus calme. La guérir de sa phobie me prit 6 mois entier. Il y avait plusieurs raisons à cela. Sa phobie était assez profondément ancré en elle, j’ai eu 2 semaine entière avec des concours divers que ma mère m’avait imposée pour me rendre la tâche plus difficile. Et il me restait aussi mes problèmes de la vie privée, comme ne pas délaisser mes sœurs durant cette longue période. Mais la principale cause fut mon inexpérience à régler ce genre de problème. J’avais eu énormément de mal à trouver comment réussir, déjà à gagner la confiance de mon élève, puis à trouver comment lui faire accepter ne serait-ce que de s’approcher d’une étendue d’eau. J’avais subi a de nombreuse reprise des échecs cuisant, parfois sous le regard victorieux de ma mère. Alors réussir à chasser cette phobie, cette fois-là où elle était entrée dans l’eau à mes côtés, et y était resté 30 bonnes minutes sans paniquer avant de ressortir. J’avais repris une grande confiance et étais gonflée à bloc.  

Il me restait alors 6 mois pour parvenir à lui faire aimer la natation. Ma tête n’étant plus prise par sa phobie, une interrogation m’était alors venue. Pourquoi ses parents souhaitaient tant qu’elle se mette à la natation ? J’avais questionné mon élève à ce propos, et me retrouvais face à une réponse assez inattendue. Je découvrais que mon élève était une véritable admiratrice des animaux marins. Qu’elle avait pour rêve de les côtoyer un jour dans leur milieu naturel. Mais que sa phobie l’en empêchait, et qu’elle ne savait donc même pas nager. Mais du coup, elle voulait réellement nager ? J’avais alors commencé à me poser des questions sur ce défi que m’avait donné ma mère. Savait-elle cela ? Si s’était le cas, je m’étais alors trompée complètement sur son compte. J’ai appris plus tard, qu’en réalité, elle espérait que je puisse réussir d’aider la fille de sa collègue à réaliser un premier pas vers son rêve. Et que par le même temps elle souhaitait aussi se rassurer par rapport à mon choix. Mais une fois de plus elle m’avait poussé à me dépasser. Il me fallut au final moins des six mois pour parvenir à la faire nager de manière correcte. Mais cette expérience m’avait totalement encouragé à poursuivre mon choix.

Je ne devenais pas professeur en établissement dans l’immédiat, j’avais tout d’abord commencé en tant que tutrice auprès de jeunes motivées, forte de mon expérience avec ma première élève. J’avais alors 22 ans. Cependant, n’avoir que peu de jeune sous ma tutelle ne me suffisait plus. Le cas plus compliqué de ma première élève m’avait donné l’envie de découvrir des profils vraiment divers et en grand nombre. J’avais par la suite intégré une petite école avant d’apprendre l’ouverture d’une école au Japon, basée sur le sport, associée à une école d’art prestigieuse. Si cette école avait la même ambition que l’école d’art, former de futures stars du sport. Je ne pouvais que me présenter pour le poste de professeur de sport aquatique. Cela me forçait néanmoins à quitter ma famille, et don être loin de mes sœurs cadettes. Mais je voulais absolument ce poste, malgré ma jeunesse. C’était mon nouveau défi. Et peut-être qu’un jour les envies de mes sœurs les pousseront a fouler un chemin similaire au mien ?  





Caractère : Quel caractère pourrait avoir la grande sœur gaga de ses petites sœurs ? Assez extravagant peut-être ? Les deux points que l’on vous confiera le plus à mon propos sont mon amour immodéré pour les sports aquatiques. Le second est ma mauvaise mémoire que l’on pourrait parfois croire sélective.

Mais passons sur ces deux points principaux de ma personnalité. Je suis une sportive, avec ses qualités et ses défauts. J’aime la compétition, les défis, montrer ce dont je suis capable. Il m’arrive d’être vantarde même sur certains points, surtout face à ceux qui font les malins. Puérile ? Peut-être, mais il faut bien quelques défauts pour ne pas être personne fade. Il y a quelque chose à savoir et qui va de pair avec mon envie d’enseignement. J’ai un bon relationnel avec les jeunes me montrant patiente et attentive envers les moins adaptés au sport, mais me montrant bien plus poussive vers celle désireuse de s’améliorer. C’est une habitude que j’ai prise grâce aux différents profils qu’il m’était arrivé d’avoir durant ces deux années de tutorat. Néanmoins, cela doit s’accompagner de bonne foi. Dénigrer ou se montrer désintéresser, lorsque l’on participe à mes cours ou non a fortement tendance à m’énerver. C’est tout un monde qui me tient fortement à cœur, et partager cette envie avec les autres est une passion.

Je possède aussi une grande sensibilité en ce qui concerne la protection des océans. La raison principale reste que j’y ai passé une partie importante de ma vie, auprès de mon père et des plongées plus inoubliable que jamais. Et puis bien entendu, par désir de protéger cette faune et flore si importante pour nous.

Je fais partie de ce genre de personne qui ont tendance à s’inquiéter un peu pour tout le monde. Mes sœurs ont souvent fait les frais de ma grande curiosité. Un problème personnel ? Je ne peux en général pas m’empêcher de questionner, de savoir, et de conseiller au mieux. C’est un petit truc que j’ai remarqué quand j’ai aidé ma première élève, le fait que je me donne autant pour comprendre.

Le dernier point est arrivé bien plus tard lorsque je suis devenue adulte. Déjà, j’ai appris que je n’étais pas une grande buveuse. Je n’aime pas, enfin plus précisément ne supporte pas les alcools forts. Cela me rend malade de la pire des façons. J’aime autant faire des soirées que des nuits tranquilles où je peux me détendre après une dure journée de travail. C’est au cours de ses soirées en rencontrant des personnes un peu excentriques, que j’ai découvert une petite passion pour les jeux insolite. Ce genre de jeu pas popularisé, avec des règles assez peu conventionnelle, qui éveille mon esprit de compétions tant ils comportent bien souvent des règles voir des gages que l’on ne trouve pas à tous les coins de rue. Ce genre de jeu au nom parfois compliqué et que j’oublie assez vite. Des jeux de soirée en gros.



Physique : Laissez-moi commencer directement par la question de taille qu’il n’y ai plus de surprise, je suis assez grande fort de mon mètre 80. Cela se traduit principalement par de longues jambes fines mais musclées. Mes bras eux même de son pas en reste, et cela me donne un petit avantage certain lors de mes nages par la grande amplitude qu’il m’arrive d’atteindre. Voilà, c’est posé. Mon corps entier est basé sur cette esthétique, combinant sa grandeur en étant musclé, mais tout en gardant une apparence gracieuse que je ne souhaitais pas perdre. Après tout, tout n’est pas que sport basé uniquement sur le physique dans ce que je pratique, même si je ne néglige en rien le physique que cela demande.

Je suis une brune mais qui a teint ses cheveux en bleu lorsque j’ai pris la décision d’enseigner. l’envie de changer un peu d’apparence pour marquer le coup, qui avait fait parler ma famille a l’époque, mais que je souhaitais, autant pour rappeler mon amour pour l’eau et les sports aquatique que pour souligner mes yeux bleus. Cela me sépare de ce à quoi je ressemblais quand j’étais en période full compétition.

Je ne possède d’ailleurs aucun piercing ni tatouage. Pour le premier jamais je n’en ferais, mais pour le second, c’est surtout que je n’ai jamais vraiment trouvé une raison de le faire, même si je ne suis pas contre l’idée. En termes de signe distinctif, je possède un petit collier d’imitation argent en forme d’étoile qui m’a été offert par mes sœurs lorsque j’ai décidé de partir au japon pour devenir professeur.  

Passons alors au point le plus important, le coté vestimentaire. J’ai quelque habitude vestimentaire particulière. La première est que je porte tant qu’il ne fait pas froid uniquement des tenues laissant mes épaules à l’air libre. Que ce soit sur robe ou pull divers, je prends toujours ce genre de modèle que j’affectionne autant pour l’élégance que son coté qui offre un sentiment de liberté. Du même style, je porte en général des shorty assez court de manière à ce que mes hauts arrivent à peu près à longueur de ce shorty. He oui, on peut bien s’amuser quand on sait ce que l’on veut de son apparence. De ce même fait, cela ne me dérange pas de porter des tenues un peu plus révélatrices.
Le choix de mes maillots de bain dépendent beaucoup de mon humeur, n'ayant pas de préférence entre le bikini et le traditionnel 1 pièce. je n'utilise que ce premier en mer.

En terme de coloris, je m’oriente sur deux duos de couleurs avec leur prérequis. Le duo noir et blanc, jamais porté en même temps, qui dépend principalement de mon humeur, du temps ou de l’heure de la journée. À cela s’ajoute le duo de bleu et de brin clair qui accompagne alors mes tenues.

Petite dernière info particulière, je ne porte pratiquement jamais de chaussure à talon, même si je sais les porter. Je ne les réserve que pour de grandes occasions non-sportif, et pour une petite habitude que j’avais avec mes sœurs.

petit rassemblement entre soeurs:

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