SHIMIZU HISAE -VALIDÉE

Histoire : Shimizu est née lors d'un été particulièrement chaud, il y a maintenant vingt-et-un an, sur les côtes d'Okinawa plus exactement à Naha, préfecture de l'île. Née d'un père gérant d'un magasin nautique et d'une mère saisonnière et gérante d'une petite échoppe estivale de bord de plage, la petite fille avait toujours vécue, les pieds dans l'eau et dans le sable. Il ne lui fallut guère que quelques années de plus pour passer du nourrisson rondouillard, à cette petite fille aux cheveux de jais courant dans le sable, nageant parmi les poissons et escaladant les récifs et les coraux. Cette fillette, selon les habitués, les saisonniers et le commençant du coin était un véritable poisson et une bouffé de fraîcheur.

Cinq ans, fût l'age ou la demoiselle dû mettre pour la première fois des lunettes sur son petit nez, ses yeux d'un bleue pâle, tirant vers le gris, n'avaient pas réellement supporté la lumière du soleil et le sel de la mer. Oh ce n'était rien, une banal myopie, mais si jeune, cela risquait de ne pas aller en s'améliorant, enfin, pour le moment cela était une banalité qui avait placé un montant aluminium aux verre rectangle sur le nez de la demoiselle. C'est aussi à cet âge que la demoiselle découvrit le beach-volley, le sport typique des plages en été, par équipe, en duo, en duel, ce sport offrait bien des possibilités pour s'amuser entre amis, ou plus professionnellement et c'est ce qu'elle découvrit lors de cette compétitions des plages et c'est aussi ainsi, qu'elle ressentie pour la première fois la morsure d'un ballon de volley envoyé en plein visage.

L'année suivante, la jeune fille intégra le club de volley de son école et y découvris la partenaire idéale, une petite blonde, en même temps vue la taille qu'avait Shimizu, toutes les autres étaient plus petites qu'elle. Tricheuse, grande perche, tu as redoublée ! Furent monnaie courante pour cette demoiselle qui était avantagée par sa taille par rapport aux autres élèves, mais la passion qui l'animée pour ce ballon, bien plus léger qu'un ballon de foot, sentir ses doigts frôler le cuir de celui-ci, le petit son qu'ils provoquaient quand elle poussé le ballon pour la passer à une partenaire, ou le bruit caractéristique de la claque infligée balle lors d'une attaque, avaient le dons de lui procurer des frissons, mais cela ne valait rien, par rapport au plaisir de jouer sur les plages !

Il fallut attendre les vacances, l'été de cette même année pour que Shimizu, en compagnie de Sayuri, cette petite blonde qu'elle avait découverte, rappelez vous ! Pour que la demoiselle découvre le plaisir d'un duo de beach-volley, lors d'un challenge amicale pour jeunes. Le sable sous les pieds, la chaleur du soleil, le maillot comme seul uniforme, la casquette et les lunettes de soleil pour éviter d'être éblouie par le soleil, se jeter dans la sable sans crainte pour rattraper le ballon et ne pas le laisser toucher le sol, les stratégies en trois touchés de balles visant à alterner les attaques entre les deux partenaires, se précipiter au filet pour contrer les attaques et sentir la morsure du cuir dans le creux de ses mains, voir l'adversaire plonger pour essayer de rattraper une attaque et le surplomber alors qu'il a la tête dans le sable. Le duo remportèrent leurs première compétition cette année et cela fût le début d'une grande épopée.


Les années et les trophées s’enchaînèrent rapidement, entre le volley en primaire, puis au collège, les compétitions sur les plages, chaque années la demoiselle et sa coéquipière avaient pour habitude de rapporter une coupe, une médaille, ou simplement un diplôme attestant de leurs victoires, dans sa chambre trônait une étagère remplie de photos et de distinctions en tout genre, dans le domaine du beach-volley, ou du volley en lui même, à Okinawa, la jeune femme c'était faite remarquer et un nom qui restait. Beaucoup attendaient avec impatience cette belle jeune femme qui était devenue aussi jolie que redoutable sur le sable fin des plages. Mais cette année là...l'année de ses quinze ans, quelques jours avant le début de la compétition, le jours de son anniversaire...sa partenaire depuis plus de dix ans, aussi bien sportivement, que sentimentalement, bien que cela était encore floue, lui annonça son départ et son déménagement à l'autre bout du pays. Ayant perdue sa partenaire, la jeune femme perdit bien plus qu'une simple personne, délaissant le ballon, les plages, même son sourire avait disparue pour la laisser dans une profonde mélancolie qu'il était difficile de lui faire perdre.

Seize ans, quittant la plage pour l'intérieur des terres, la demoiselle intégra l'académie de la danseuse Pétrova, en section de musique en tant que harpiste, ses doigts si fin et habile, habituées à effleurer le cuir d'un ballon, avaient trouvé pour substitue les nombreuses cordes de la harpe, oh elle était douée, il n'y avait aucun doute, mais la magie était bien moins présente que quand elle se trouvait sur un terrain de volley ou sur une plage. Depuis cette année, Shimizu n'avait plus touchée un ballon, s'inscrivant en athlétisme pour garder une certaine forme et son endurance, ce ballon qui l'avait toujours suivie, son premier ami, avait été abandonné dans un coin de la chambre qu'elle occupée au dortoir.


Pourquoi la harpe ? Shimizu n'avait jamais fait preuve d'un quelconque intérêt pour la musique jusqu'à présent et encore moins pour en jouer elle même. C'est en se rendant chez sa grand-mère maternelle, qu'elle découvrit l'instrument en explorant les souvenirs se trouvant dans le grenier. Une harpe ? au japon ? elle appris par la même occasion que la grand mère de la mère de sa grand mère...ouaiisssss c'est compliqué ! Son arrière, arrière, arrière grand mère était une artiste européenne venue se produire au pays et y restant pour créer une famille...elle avait donc du sang européen dans les veines ? Cela pouvait expliquer sa taille, pourtant le reste de sa famille ne semblait pas si grande.

Même son ancêtre en avait joué, pourquoi est-ce qu'elle s'y mettrait ? Elle même n'en savait trop rien, mais voir cette instrument sous une draps, abandonnée, laisser là derrière tout, dans un grenier, elle avait l'impression de voir un reflet de ce qu'elle était devenue. Faire restaurer l'instrument ne fût pas chose vraiment difficile. Faire en sorte que sa famille ne le vende pas était autre chose, vue l'instrument beaucoup de collectionneur se rendant à l'atelier et l'apercevant voulurent se le procurer, un instrument qui avait plus de trois siècles, cela n'était pas étonnant ! Quand elle récupéra l'instrument, accordé, restauré, ressuscité, les premières notes qu'elle en joua vinrent la faire vibrer au plus profond d'elle. L'apprentissage quand à lui, fût une toute autre paire de manches, trouver un ou une harpiste au japon, ne fût pas chose aisée et les cours ne furent guère gratuit, mais cela porta rapidement ses fruits. Est-ce qu'elle avait un don ? Non, la jeune femme avait une extrême rigueur, lui permettant d'apprendre rapidement et surtout de reproduire le touché de corde tel qu'il convenait de le faire.

Pourquoi la Yuri-Academia me direz vous alors ? Après seulement un an et demi d'apprentissage ? La Japonaise était douée, c'était indéniable, au point où sa mentor n'avait pratiquement plus rien à lui apprendre, son touché semblait magique, ses doigts arpentaient les cordes avec une fluidité et une dextérité peut commune, si bien qu'on lui conseilla d'intégrer une académie qui pourrait dévoiler et polir son talent comme il se devait. Puis quitter les plages et le soleil lui permettrait d'oublier le ballon et Sayuri. L'audition, bien que stressée, se passa sans guère vraiment de difficulté, la demoiselle était douée, simplement on sentait, que malgré tout l'émotion n'y était pas au beau fixe.

Aujourd'hui, vingt-et-un ans, la jeune femme est étudiante à l'académie, travaillant à temps partielle dans un café afin d'occuper ses soirées et son temps libre, mais aussi afin de gagner un peu d'argent. La jeune femme à laisser derrière elle, le nom qu'elle s'était fait dans le volley et essais de s'en tracer un dans la musique, suivant assidûment ses cours et arpentant les couloirs de la Yuri-académia depuis maintenant quelques années.



Caractère :


Austère, c'est l'adjectif définissant le mieux la jeune femme depuis quelques années. Silencieuse, discrète et assidue, la corneille des terrains de volley avait perdue de son mordant depuis qu'elle avait quitté les terrains. Elle ne cherche pas à se faire remarquer, se contentant simplement de faire ce qu'on lui demande sans vraiment se prendre la tête.


La mélancolie ainsi que la douceur qui se lisent sur son visage son communicative, Shimizu est le genre de femme à ne pas poser de soucies ou de complications, ce genre de personne dont on ne remarque la présence que part sa beauté silencieuse.



Sur le terrain qu'elle a aujourd'hui quitté, la Japonaise était une toute autre femme, dynamique, enjouée, calculatrice, elle faisait plaisir à la voir se démener avec ses équipières pour remporter la victoire. Caractérielle, elle était le genre de femme à pousser les gens au cul pour qu'ils avancent et ne se laisse pas aller et ne supportait pas les gens qui perdaient espoirs ou partaient directement défaitiste, allant jusqu'à refuser de jouer avec eux si cela était le cas. Si on allait sur le terrain, c'était pour se battre jusqu'au bout, il était simplement hors de question de baisser les bras !


Dans l'intimité, oh il est encore difficile de dire comment était l'étudiante dans l'intimité, le plus simple était de l'approcher suffisamment proche pour le découvrir. Mais on la dit douce et attentionnée, à l'écoute de sa partenaire et de son bien être.




Physique :


Comment est Shimizu ? Le plus simple et d'allait la découvrir non ?

Regardez là dans son bain, son visage aux traits fin, sa longue chevelure d'un noir de jais noué au dessus de sa nuque, ses grand yeux bleues pâles, tirant sur le gris, le tout tiré doucement en amande pour rappeler ses origines nippones, un nez fin et aquilin, souvent marqué par cette paire de lunette posé dessus, une imperfection ? La seul que nous pouvons voir c'est ce petit grain de beauté tout mignon qui trône sous le coin de ses lèvres.

Son corps ? Attendons qu'elle se lève, tiens, justement, voilà qu'elle sort de l'eau. Admirez ce corps svelte, élancé, des muscles discret mais présent, une peau douce et lisse, sans imperfection, des courbes harmonieuses, des hanches présente, des fesses rondes, une belle poitrine présente, rondes et fermes ne semblant guère soumises à l'attraction terrestre.

Ses belles longues jambes fines, musclées, au galbe harmonieux, sa peau et douce et lisse, entretenue soigneusement pour ne rien laisser de disgracieux dessus, nous voyons aisément que la jeune femme est et était sportive et que malgré tout elle continue de s’entraîner régulièrement pour garder son physique. En se redressant nous pouvons profiter de la taille de la jeune femme, elle est grande, très grande pour une japonaise, elle mesure environ un mètre soixante-seize, pour une soixantaine de kilo.

Une fois enroulée dans une longue serviette blanche, nous pouvons la voir s'installer à sa coiffeuse, détacher ses long cheveux fin et lisse pour se peigner, sa brosse glissant aisément dans cette chevelure typiquement japonaise, au dégradé léger et sans le moindre nœud.

Son style vestimentaire est simple, sobre, se contentant la plupart du temps de l'uniforme de l'académie, de son uniforme de café, ou de tenue simples, sobre, léger, robe, jupe, pantalon souple, elle mettait surtout ce dans quoi elle était à son aise. Elle n'avait pas besoin de maquillage, la jeune femme restait dans la simplicité et c'était ce qui lui allait le mieux.





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