Prénom : Elyvianna.
Nom : Curst.
Origines : Née en Russie. Père Russe et Mère Japonaise.
Âge : 18 Ans.
Etudes : Section Musique, troisième cycle.
Club : Club pâtisserie.
Métier : Donne des cours de violon et serveuse dans un restaurant.
Aime : L'hiver, le froid, les étoiles, la musique, la bonne nourriture, travailler, sortir avec ses amis, s'amuser, rigoler et discuter de tout et de rien !
Aime pas : Les mythomanes, les choses trop sucrées, les choses trop salées, la chaleur, les grandes étendues d'eau et l'alcool.
Qualités : Joyeuse, Téméraire et Battante.
Défauts : Mauvaise Perdante, Curieuse et Chiante.
Il était une fois...
Histoire : Un bruit sec et violent retentit dans la pièce. Elle ne les comptait plus. Son père venait de la gifler une nouvelle fois pour une raison des plus obscures.
- Quand est-ce que tu comprendras que la musique ne t’apportera rien dans ta misérable vie ? La meilleure des choses à faire pour toi est de terminer tes études pour ensuite prendre le relais !
Était-ce un si grand mal de jouer de la musique ? Vouloir montrer ses émotions à travers la musique était interdit ? Aux yeux de mon père, non. Cependant, il ne voulait pas que je sois une musicienne. Lui voulait juste que je reprenne l’affaire familiale. Depuis que ma mère n’était plus de ce monde, il n’écoutait plus rien. Je faisais du violon et du piano depuis l’âge de quatre ans. Ma mère m’avait tout apprise. Je me débrouillais plutôt bien avec un piano, mais j’avais une préférence pour le violon. La toute première fois où j’avais posé ma main sur un violon, quelque chose en moi qui sommeillait s’est réveillée. Une sensation que je ne saurai expliquer correctement après tout ce temps.
Elevée par des parents de nationalité différentes, je parlais couramment le Russe, le Japonais ainsi que l’Anglais. Néanmoins, lorsque je parle, on constate avec facilité que le Russe est l’accent qui ressort le plus. Effectivement, j’étais née et j’avais vécue presque toute ma vie en Russie.
Mon père et ma mère formaient le couple idéal. Ils ne s'engueulaient jamais ou alors très très rarement pour des broutilles. Ma mère était professeure de piano. Elle avait remportée plusieurs concours tout comme mon père. Ils se sont rencontrés lors d'un concours international. Ayant perdus tous les deux, mon père décida pris la décision d'arrêter la musique. Que seul les génies pouvaient arriver à quelque chose dans ce domaine, tandis que ma mère, elle, poursuivit son rêve d'apprendre aux plus jeunes le piano. Plus intéressée par le violon qu'autre chose, un professeur s'occupa de mon apprentissage en Russie tandis que ma mère m'apprenait un petit peu le piano de temps en temps.
Mon père n'y voyait aucun inconvénient à cette époque, ce n'est pas parce qu'il avait raté dans ce domaine que sa fille allait elle aussi rater. Puis, le drame arriva. Ma mère tomba gravement malade. Attrapant une pneumonie, les médecins étaient persuadés qu'elles survivrait, mais malheureusement, ce ne fut pas le cas. Ce fut la période la plus triste de toute ma vie. J'étais complètement perdue et ne savais quoi faire. Puis les jours passèrent et mon père devint cet être pitoyable...
Au bout de quelques années après le décès de ma mère, à l’âge de quinze ans, ne pouvant plus supporter mon père, je pris la décision de partir vivre chez mes grands-parents du côté de ma mère, au Japon. Mon père me frappait de plus en plus pour essayer de me faire comprendre que je ne parviendrai à rien dans ma vie. Il essaya durant de nombreuses années avant de laisser tomber en me disant de faire ce que bon me semblait et qu’il n’en avait plus rien à faire. Au début, cela m’étonna énormément de sa part, mais je compris rapidement le pourquoi du comment. Il avait trouvé une nouvelle femme. Tant mieux pour lui... mais à mes yeux, un père qui frappe son enfant et qui ne contribue pas à son bonheur et sa joie de vivre ne mérite pas d’être appelé père. Ni même d’être considéré comme tel.
Je redécouvris le bonheur et la joie de vivre en partant vivre avec mes grands-parents au Japon. Pouvant jouer du piano et du violon à volonté, une école m’ouvrit les portes. Une école rassemblant des artistes, comme moi. Un endroit parfait à mes yeux. Mes grands-parents m’offrirent la possibilité de m’y rendre en payant les frais de scolarité. Argent que je m’étais promise de rembourser !
Néanmoins, le plus dur fut à venir. Il m’avait fallu faire mes preuves face à un Jury. Je n’avais jamais douté de mes compétences, mais je ne savais pas quel niveau était attendu. J’avais remporté quelques concours dont un national, mais rien de bien extraordinaire. Après le décès de ma mère, je n’avais pas eu le privilège de pouvoir faire d’autres concours, malheureusement... Je ne comptais pas baisser les bras pour autant et donnerais le meilleur de moi-même lors de cet entretien ! Une fois sur les lieux, équipée de mon magnifique violon légué par ma mère, je me mise à jouer. Le premier morceau nommé Russian Romance de Chernyetsky était l’un de mes préférés. Le deuxième, un morceau du célèbre Ludwig Van Beethoven, Kreutzer. J’avais bien évidemment demandée au préalable s’il était possible d’avoir une pianiste pour m’accompagner. Demande qui fut acceptée pour mon plus grand plaisir. Pour mon plus grand bonheur, je fus acceptée au sein de l’école.
Plutôt modèle ou rebelle ?
Caractère : Je suis légèrement rebelle sur les bords. Ce que je veux dire par là, c’est que je ne me laisse pas marcher sur les pieds, mais aussi que je ne manquerai jamais de respect sans raisons. Je suis respectueuse tant que la personne en face de moi l’est.
Je ne suis pas du genre violente. Frapper quelqu’un, même pour me défendre ne me correspond pas et n’arrivera pas. Je subirai en silence sans dire un mot tout en essayant de trouver un moment opportun pour m’enfuir.
Bienveillante et calme. Aider sans rien demander en retour est l’une de mes particularités. Venir en aide aux autres me procure un bien indescriptible !
Mauvaise perdante. Qu’importe la discipline. Qu’importe si ce n’est qu’un simple jeu de société ou jeu vidéo. Je déteste perdre ! Je veux toujours être la meilleure et gagner ! Bon, je perds plus souvent que je ne gagne et cela fait généralement rire la galerie. Le seul domaine où j'ai le plus de chances de gagner est quand je me retrouve avec un violon entre les mains.
Pour faire simple et court, je suis une personne attentionnée et bienveillante envers tout le monde tant qu’on n’essaie pas de me mettre des bâtons dans les roues. Une personne douce et calme, mais extrêmement sensible. Même si je ne le montre pas, je suis loin d’être forte. Il m’arrive souvent de pleurer quand je suis seule tout en me posant un tas de questions. Peut-être qu’un jour, j’arriverai à trouver quelqu’un envers qui je pourrai facilement me confier et que tout ça ne sera que du passé !
Miroir mon beau miroir
Physique : Pour une femme au Japon, je suis assez grande ! Un mètre soixante-douze. Je suis beaucoup plus grande que la moyenne et cela m’amuse un petit peu. Et puis avec mon Japonais parfait couplé à mon accent Russe, comment vous dire que je ne passe pas inaperçue ! Deux yeux d’un vert étincelant, des cheveux assez courts s'arrêtant aux épaules et une silhouette légèrement élancée. Je suis loin d’être parfaite, mais je m’aime comme je suis ! J’aime mon corps et la personne que je suis. Ma pâleur russe en intrigue plus d’un et généralement, les personnes pensent que je suis malade alors que pas du tout... Je m’habille normalement, mais ce que je préfère porter sont les robes. Les grandes et magnifiques robes avec lesquelles je peux tournoyer sur moi à l’infini ! Est-ce que je suis une enfant ? Un petit peu !
Qui es-tu vraiment ?
Age : 25 Ans !
Avatar : OC by Caidychen. (Cut Hair)
Localisation : France !
Pourquoi ce forum ? : Je me suis laissée tenter par la magnificence des graphismes ! (Non je n'exagère pas, j'adore !)
As-tu déjà fait du RP ? :
Voudrais-tu avoir une marraine sur le forum ? : Oui !
Code de validation :
Ok By LeelaSi tu nous montrais ce que tu sais faire ? :
- Spoiler:
- Il est l’heure ma puce ! Je suis sûre que ta mère est fière de toi là-haut et qu’elle veille sur toi jour après jour ! Et moi, je suis persuadée que tu deviendras une future musicienne digne de ce nom et que tu passeras à la télé !
Cette fois-ci, ce n’était pas une claque, mais une main douce et attentionnée qui frôlait ma joue. Ma grand-mère m’embrassait la joue avant de me faire un signe de la main avec un grand sourire, mon grand-père à ses côtés, en pleurs, ne sachant quoi dire. Je n’avais pas besoin d’entendre ses paroles, je devinais ses mots rien qu’à le voir dans un tel état. Et vu que ça santé était assez fragile ces derniers temps, je n’avais pas voulu l’embêter avec tout ça. D’un dernier signe de main, je montais dans le taxi en direction de ma nouvelle école.
N’étant pas très loin de l’endroit, le trajet ne fut pas long. Payant le chauffeur qui s’éclipsa aussitôt, valise dans la main droite et violon dans l’autre, me voilà arrivée. Me présentant à l’accueil dans le plus grand des calmes, on me dit d’attendre là quelques instants. Chose que je fis sans sourciller. Mes yeux brillaient de milliers d’étoiles. Je ne savais quoi dire, mais je savais quoi faire. Réussir était le point le plus important. Je devais faire de mon mieux dans cette école ! Ne pas laisser passer cette chance en obtenant les meilleures notes possibles. Et montrer à ce vieux paternel grincheux et pourri jusqu’à la moëlle que la musique ne vaut la chandelle !