Prénom : Molly
Nom : Shang
Origines : Wisconsin USA
Âge : 24 ans
Etudes : /
Club :/
Métier : Secrétaire de direction
Aime :Les livres, les gâteaux, les sucreries en tout genre, la nourriture en fait, son pull en maille trop grand et tellement confortable, le café, sa tasse qu'elle emmène même au travail
Aime pas : La buée sur ses lunettes, la pluie, les vêtements serrant, le miroir, les gonzesses qui se plaignent d'avoir pris 100 grammes, les portions de nourritures qui sont ridiculement radines
Qualités : Intelligente, A une grande mémoire, Humoriste à ses heures
Défauts : Sensible, Gourmande, Impatiente
Il était une fois...
Histoire : Ses parents lui avaient toujours dit avoir été béni par deux merveilleuses filles, sa sœur Rachel et elle, Molly. Elle ne savait pas pas si c'était vrai, mais toujours était-il que son aînée avait chouré toute la bénédiction, entre sa taille de guêpe, sa hauteur de mannequin assortie à des jambes qui n'en finissaient pas et ses longs-cils entourant des yeux de biche, et elle, il ne lui restait pas grand-chose : l'acné, les bourrelets, la petite taille et en prime une myopie qui l'obligeait à porter des affreuses lunettes dont l'épaisseur du verre était semblable à celle d'un cul de bouteille en verre.
Je sais ce que vous vous dites pourquoi son prénom et son nom de famille ont des origines différentes ? Elle est 100% américaine, mais issue de la seconde génération d'expatrié chinois et devinez quels étaient le boulot de ses parents ? restaurateurs ! Raciste ! Ils sont respectivement professeur des collèges et vendeuse dans une parfumerie.
Ses parents ne faisaient pas de différence entre sa sœur et elle et d'ailleurs la maison avait toujours été son havre de paix jusqu'au collège et vous comprendrez pourquoi. Depuis la primaire, l'école s'apparentait à l'enfer sur Terre, les professeurs ne la trouvaient pas assez intelligente comparé à sa sœur et ses pairs l'avaient affublés de cruels surnoms à cause de son poids
légèrement au dessus de la courbe. Sa grande-sœur, Rachel était bien trop occupée à profiter de sa popularité et de ses amies aussi superficielles qu'elle pour défendre Molly.
Lorsqu'elle était arrivée toute fraîche au collège, Rachel lui avait interdit de dire qu'elles avaient un lien de parenté, sous peine de voir sa bibliothèque, sa seule échappatoire, partir en fumée. Entre ça et le fait de retrouver son père au cours de mathématique comme prof, elle avait envie de se tirer une balle dans la tête et d'en finir. L'adolescence fut la pire période de son existence.
Elle recevait quotidiennement des intimidations des élèves et était le sujet principale des moqueries limites racistes. Molly finissait plus que régulièrement en larmes, avec ses parents convoqués dans le bureau d'un fin pédagogue qui n'avait rien trouvé de mieux à leur dire: "qu'elle serait plus acceptée si elle faisait régime". Elle savait très bien qu'une fois cette phrase prononcée le réconfort qu'elle puisait dans la nourriture allait disparaître.
Les régimes, le sport, les privations et les applications de crèmes sensée l'amincir trouvées par sa mère ça n'était pas le pire. La grand-mère et même les tantes s'entraidèrent pour lui trouver des remèdes ancestrales chinois, car il n'y avait que ça de vrai ! L’acupuncture, les cloches, les massages avec une huile de "je ne préfère pas vous dire de quel animal en danger ça vient ", les thés qui avaient un goût de tout sauf de thé et qui la rendait malade plus que ça ne la faisait maigrir. La méditation aucun effet sur elle.
"Tu es grosse Molly ! "A 17 ans, la phrase de sa mère lui transperça le cœur encore plus que lorsqu'elle avait réalisé que sa vie sentimentale s'arrêtait à tout les mecs qui venaient lui demander le numéro de portable de sa sœur. Elle n'avait jamais été mince, jamais été grande, c'était pas la mer à boire non plus ! Et c'était pas grave si sa vie ne tournait pas autour de l'idée d'avoir un beau mariage, des enfants, vivre dans une belle maison et reproduire le schéma familial. Pourquoi est-ce qu'elle était la seule avec son papa à penser que ne pas rentrer dans un XXS ça n'était pas si terrible ?
Il y avait bien une chose pour laquelle elle était douée, c'était organiser des événements en restant le plus en retrait possible et ne même pas s'en attribuer le mérite. Parmi les exemples : le bal du lycée ou sa sœur s'était fait couronné reine, sa fête de diplôme, la fête de seconde noce de ses grand-parents maternel, Thanksgiving, la fête de la lune (populaire en Chine). Dès lors, elle disait que son avenir professionnel était d'agir dans l'ombre des personnes charismatiques, d'écrire des discours passionnés qu'elle n'aurait jamais à prononcer , de devenir une organisatrice hors-pair et de ne même pas avoir de merci. De devenir
LA secrétaire de direction idéale et d'avoir un salaire supérieure à une employée de bureau lambda.
La première chose pour y arriver c'était de se féminiser un peu, vous pouvez remballer les mini-jupes et les talons aiguilles, merci ! On peut être féminine avec un pull large et un pantalon, il suffit d'avoir une coiffure au top et un peu de maquillage et le tour est joué.
Elle valida des études supérieures pour devenir secrétaire de direction pendant que sa grande-sœur, elle, s'épanouissait dans un rôle d'actrice de série B bonne à faire pleurer les mamies à chats devant leurs vieux téléviseurs. Une fois diplômée, trouver un travail fut bien plus difficile que prévu, malgré un C.V et un diplôme très qualifié, le fait qu'elle parle plusieurs langues et collectionnait les lettres de recommandation, ont préférait toujours des collègues moins qualifiées, mais qui avait un profil physique plus agréable à regarder. Se mettre sur mon 31 pour passer des entretiens d'embauche ne donnait aucun résultat probant. Son seul avenir professionnel semblait se profiler comme vendeuse dans une grande chaîne de fast-food américaine. Tant de talents gâchés si c'était pas malheureux !
Les heures supplémentaires s'entassaient comme mes kilos sur la balance et sa fatigue s'amoncelait. Ce fut son père qui lui tendit une offre de travail à l'étranger trouvée dans un journal local, lors d'un réveillon de Noël. Immédiatement, sa sœur essaya de l'en dissuader et s'en suivit un véritable débat où tout le monde avait son mot à dire à part la concernée. Vous l'aurez comprit, ça semblait être une mauvaise idée pour presque tout le monde à part son père qui la soutenait et l'encourageait.
" Enfin papa ! Tu sais bien qu'ils vont la refuser et elle se sera déplacée pour rien ! La Yuri-Académia n'engage que des personnes qui présentent bien ! Excuse-moi de te le dire chérie, mais je te dit ça pour ton bien, avec tes gros pull qui te font ressembler à une boulette de viande et tes pantalons usés entre tes cuisses qui frottes, t'as pas le bon profil !""Je suis certain qu'elle peut y arriver ! Elle était la première de la classe et elle est intelligente ! Tu en pense quoi Molly ?"On réclamait enfin son avis sur son avenir ? Elle avait la trouille ! Comment ne pas l'avoir ? La directrice possédait un charme fou et une beauté que même Rachel n'aurait jamais égalé. A côté, c'est clair qu'elle faisait tâche, mais si elle ne devait pas à apparaître en public ça devrais bien se passer.
" Oui ! Je, je vais tenter ma chance ! On verra bien !"
A moitié convaincue par ses paroles, en voyant la photo sur son CV et sa lettre de motivation, elle était certaine que le papier allait finir dans la pile destructeur de documents et ne plus jamais revoir la lumière du jour. Quelle ne fut pas sa surprise en découvrant qu'on acceptait sa candidature et de recevoir un appel pour lui confirmer un entretien d'embauche dans les plus brefs délais.
La nouvelle cloua le bec de Rachel, une petite fierté qu'elle gardait en mémoire et ses parents, surtout son papa la félicitèrent. Ils voyaient déjà les choses en grand en parlant d'avenir, de paie, de régime (et l'éternel refrain sur la santé), au dépaysement et à les entendre parler elle aurait pu facilement croire que c'étaient eux qui allaient emménager au Japon.
Elle parlait l'anglais, le chinois (forcément à la maison c'était le langage le plus utilisé), mais le japonais, à part quelques mots rudimentaires que tout le monde connaît sans en avoir jamais fait, Molly était loin de le maîtriser ou encore de le comprendre. Un problème sur le long terme dont il faudrait qu'elle inverse la tendance au plus vite.
Le voyage fut harassant et elle pesait ses mots, une journée passée assise en classe économique dans un siège trop serré avec une chaleur invivable. Ses voisins directe se souviennent encore de l'odeur de sa transpiration mélangée à son déodorant bon marché. Et le meilleur de la journée, puisque ces cons à l'aéroport avaient paumés sa valise dans un autre pays: voilà que ses vêtements et ses produits indispensables pour pas sentir le chacal trempé étaient tous partit en vacances au Maroc et qu'ils allaient pas revenir avant au minimum 3 semaine chez ses parents, le temps de faire escale et d'être rapatrié, La tuile ! Sa tête et sa galère alors qu'elle tentait d'acheter du gel douche, de la poudre à lessiver et du shampoing dans une supérette du coin, la vendeuse avait dû la prendre pour une folle à gesticuler pour lui faire comprendre ce qu'elle voulait exactement.
Aucun vêtements de rechange, ses beaux habits pour l'entretien étaient dans sa valise perdue avec sa brosse à cheveux et sa brosse à dents, sans parler du maquillage qu'elle comptait s'étaler sur son visage pour qu'il paraisse plus présentable. Résultat : le lendemain, elle ressemblait à un épouvantail pour rencontrer madame Pétrova qui avait la réputation d'être une personne qui aimait l'ordre et la propreté. Molly pouvait-elle encore rentrer à la maison ? Elle s'était lavé les dents comme elle avait pu à l'aide des trois quart du tube de dentifrice et de son index pendant que son autre main lui 'avait servit de brosse à cheveux très rudimentaire et qu'elle avait étalé du fond de teint qui n'était pas du tout de la bonne couleur pour cacher ses boutons d'angoisse apparut durant la nuit. Cela n'avait pas suffit à ce que ses cheveux lavés avec du shampoing qui n'était pas fait pour son type de cheveux, ne se mette à friser comme un mouton et voilà qu'elle était garnie d'une grosse choucroute digne des Jackson-Five qui surplombait sa tête.
La tronche qu'avait faite la secrétaire à l'accueil de qui Molly devait être la superviseure valait le détour. Pour patienter, elle s'était assise à côté d'une ribambelle de canon de beauté en tout genre et de toutes les ethnies, habillées avec des vêtements qui pourrait nourrir un village entier dans un pays du tiers-monde si on les revendaient même à moitié-prix (les vêtements ! Bande de monstres!)
Ne devait-elle pas feindre de s'être trompée d'endroit et se lever ? Toute prête à jouer la comédie alors que son prénom et son nom de famille sortaient de la bouche de celle qui avait tout les pouvoirs en ces lieux. Elle devait lui faire une tête qui valait le détour avant d'éclater de rire et Molly se sentait déjà morte de honte avant même de croiser le regard intransigeant de la directrice. Un visage impassible, qui ne montrait aucune émotion bonne ou mauvaise et elle l'invita à entrer de manière fort charmante, ce qui était à l'exacte opposé du scénarios qu'elle s'était imaginé quelques secondes plus tôt. Elle était fort stricte, rien qu'à la voir trôner dans son fauteuil comme une reine et à voir la décoration, enfin non, l'absence de décoration hormis les ustensiles et les dossiers dans son bureau, elle ne rigolait pas. Et comme ses parents l'auraient dit, elle n'était pas à prendre avec des baguettes (chinoises, bien-sûr !).
Les questions s'enchaînaient et Molly tentait de rester sérieuse malgré son allure burlesque en y répondant le plus sincèrement possible. Elle n'était pas certaine d'avoir l'ombre d'une chance avec les divas manucurées jusqu'au doigts de pieds qui attendaient leur tour et qui étaient parfaites comme la directrice. Au moins, elle avait essayé et ça lui avait fait voir un autre-pays, c'était le bon côté des choses. Lorsqu'elle lui demanda ce qu'elle désirait le plus, ce fut son ventre qui répondit à sa place en lançant un grognement digne de celui du T-rex dans Jurassic Park et elle rougissait en s’aplatissant dans le siège avant de lui expliquer sa mésaventure et le fait qu'elle n'avait plus assez d'argent pour s'approvisionner après avoir acheté des produits pour se laver et se maquiller. Molly croyait avoir vu un léger sourire à ses lèvres, mais avait probablement rêvé et puis Léna venait de lui donner l'autorisation de manger à la cantine et gratuitement en plus.
Avec son appétit vorace, elle avait rapidement été surnommée mini-boudha par les élèves et s'était promise de ne jamais enfanter des êtres aussi cruels. Elles avaient de la suite dans les idées les petites starlettes, apparemment caresser son bide ça portait chance, heureusement que la rumeur qui disait que tapoter son fessier comme un tam-tam apportait la richesse n'avait pas été lancée !
Elle devait être rappelée dans les trois jours, mais n'y croyait vraiment pas. Molly les avaient fait rire au moins avec sa dégaine et ses vêtements de la veille passé au séchoir de la laverie bon-marché située en face de son hôtel miteux pour sentir le vieux rat-fraîchis. Que faire pendant ces trois jours ? A part faire quelques pas à moins d'1 kilomètre de l'hôtel pour ne pas être tentée de dévaliser les vendeurs de nourritures ambulants parce qu'elle ne possédait pas les moyens de payer. Elle trainait devant l'écran de la télévision nippone étalée sur son matelas à même le sol. Par contre, elle avait tout juste eu assez pour un souvenir: un mug alien de l'espace dans lequel elle allait boire toutes ses boissons chaudes à partir de maintenant.
Le jour J, Molly n'avait rien avalé excepté une canette chaude dégueulasse au distributeur et elle regardait les minutes défiler, puis les heures avec un très infime espoir qu'on la contacte pour lui annoncer un verdict. Ce que les glaces cookies Doug et les cheeseburger lui manquaient. Son cœur s’emballa et avait faillit s'arrêter lorsqu'elle remarqua un numéro inconnus qui l'appelait. Décrochant avec tact en écoutant ce qu'on avait à lui dire: Elle était engagée, commençait lundi, soit dans exactement quatre-jours à 9h00. Molly était heureuse et remerciait la personne à l'autre bout de la ligne au moins une centaine de fois avant de mettre fin à l'appel poliment et mettre au courant ses parents et surtout sa sœur de la bonne nouvelle et les prévenir que sa valise était perdue et que donc si ils pouvait lui envoyer au plus vite de quoi se changer ou au mieux faire un transfert d'argent sur son compte, ça l'aurait arrangé.
Molly était fauchée, n'avait pas de vêtements de rechange, pas de produits de beauté, mais en revanche la voilà qui avait décroché un vrai travail ! C'était le plus beau jour de sa vie. Elle n'avait jamais été aussi fière d'elle !
Plutôt modèle ou rebelle ?
Caractère :
Molly n'est pas si extravertie que ça, mais ne se laisse pas marcher sur les pieds ! C'est que ça fait mal et en plus faut déjà réussir à les atteindre sans être repoussée par son bidon. Elle a de l'humour et c'est vrai qu'elle a tendance à faire rire les gens, même si c'est souvent à son insu ! L'humour c'est comme le cholestérol Elle a ça dans le sang ! Dotée d'une très bonne mémoire en plus d'être rancunière: ça veut dire que si tu la fais chier tu le paieras tôt ou tard et surtout quand tu ne te souviendras plus de la vacherie que tu lui a fait. Molly est une bonne copine, l'éternelle friend-zonée et ça la dérange pas car au moins elle a pas besoin de faire l'effort de plaire vu qu'elle a pas à draguer sa propre main droite !
Elle adore sa famille, même sa grande-sœur alors pas touche ! L'amour ? Comme je l'ai expliqué ça fait longtemps qu'elle a comprit que personne ne la trouverait à son goût alors Molly se contente d'être la pote la plus fidèle et dévouée que t'auras jamais dans ta vie. L'amie qui te suivra dans tout tes délires même quand elle t'aura prévenus 150 fois que c'était pas une bonne idée ! Celle qui te ramènera façon princesse avec les galères et la sueur en plus jusqu'à ton lit pour que tu décuves les 50 litres de bières que t'auras enfilés en une seule soirée! Celle qui jouera les garde du corps pour les gars trop insistant qui voudront te sauter (dessus ou tout court) toute la soirée et même celle qui te servira de mouchoir pour tes larmes et ta morves quand tu te seras fait larguée par Jean-Jacques Glandu ! (Ses pull servent à ça). Tu vois comme elle est super ! Et en plus elle peux même te servir d’interprètes pour tes mode d'emploi en chinois et de boule anti-stress.
Hétéro ? Homo ? Elle sait pas et a jamais été attirée par les hommes parce qu'elle les trouvent horriblement débiles et obsédés. La seule chose qui les intéresse chez Molly se sont ses gros seins. Pour ce qui est des femmes, jamais essayé ! La plupart la trouve mignonne en tant que pote et ça s’arrête là. Peut-être qu'elle est tout simplement pas faite pour être draguée et aimée.
Miroir mon beau miroir
Physique : Alors physiquement, vous imaginez un tas de pneus empilés et voilà c'est fini.
Elle déteste son physique c'est difficile de remplir dix lignes pas phrases avec ça ! Elle possèdent des cheveux brun, mi-longs qui naturellement rebiquent et qui sont indomptable (RIP aux nombreuses brosses qui sont restées coincées dans ses cheveux), et passer des heures à se cramer l'arrière des oreilles avec un lisseur, non merci ! Cela n'est pas pour elle. Lorsqu'il pleut ses cheveux frisent et Molly a l'air d'avoir une perruque premier prix qu'on vend pour les fêtes costumées (tout le monde à l'image en tête). Elle a de simples yeux brun, c'est banal et ça ne ressort même pas. Molly a la peau rose à force d'avoir toujours chaud même quand il fait glacial dehors. elle se paie toujours une mine semblable à celle de quelqu'un qui vient de se taper un sprint ou une course de haie. Elle est pas très haute sur patte, par contre elle est taillée point de vue carrure comme une armoire à glace, sauf que tu remplaces les muscles par du gras dans son cas.
Elle s'habille toujours avec des vêtements banales, pull ou t-shirt dans lesquels elle se sent à l'aise, jeans moches et usés mais avec lesquels elle a l'impression de porter un dessous de pyjama et des baskets qui doivent avoir le quart de son âge et qui l'accompagnent partout même si elles vont devoir être remplacées dans un avenir proche. Finalement j'ai réussi à faire 10 lignes ! Je savais que j'allais y arriver !
D'accord Molly fera un énorme un effort pour aller au boulot: elle brossera ses cheveux et utilisera même le pic à cheveux anti-grignotage que lui a offert sa grand-tante pour son 20ème anniversaire. Elle soulignera l'éclat de ses yeux avec du maquillage et elle acceptera de mettre des vêtements moins ample, il paraît que ça affine la silhouette.
Qui es-tu vraiment ?
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Avatar : Mei d'Overwatch
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As-tu déjà fait du RP ? : OUI
Voudrais-tu avoir une marraine sur le forum ? : NON
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Validé par Jennie Si tu nous montrais ce que tu sais faire ? :
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Ton rp en 10 lignes qui se passe avant ton entrée à l'académie