Prénom : Elyse
Nom : Aries
Origines : Franco-américaine
Âge : 33 ans
Etudes :/
Club : /
Métier : Agent Artistique et manager/ ancienne mannequin
Aime :
Aime pas :
Qualités : Confiante, franche et diligente
Défauts : Impartiale, Avare et maussade
Il était une fois...
Histoire : Que dire sur mon histoire ? Si vous cherchez une biographie larmoyante qui va vous assécher les canaux lacrymales ce n'est pas chez moi que vous la lirez ! Je suis née en France et plus particulièrement dans le midi, là où les cigales chantent et où les touristes du pays ou d'ailleurs se précipites pour acheter leur petits baluchons de lavandes à poser dans leur tiroir pour éviter à leurs linges de sentir mauvais. Mon père était un mannequin et défilait sur les plus belles scènes su monde pour des créateurs de modes bien de chez nous à la tête de maison de hautes coutures, je parle de lui au passé parce que vous pensez bien que depuis, il a prit sa retraite. Quant à ma précieuse petite maman, elle était américaine et actrice de profession, à l'époque elle avait commencé à grimper en jouant des petits rôles secondaires puis avait prit de plus en plus d'ampleur grâce à des films à plus gros budgets et à se faire connaître un peu partout. La rencontre avec mon père s'était faites par hasard , mais ce fut le coup de foudre immédiatement et le début d'une belle histoire d'amour qui perdure encore à ce jour, ce que je trouve assez important pour le souligner à l'heure où l'on voit de plus en plus de couple divorcer par manque de communication.
Je suis la seule et unique preuve de leur amour allez savoir pourquoi ? Ils ont préféré n'avoir qu'un seul enfant, mais ce n'est pas moi qui va m'en plaindre. J'ai toujours été choyée et pourrie gâtée ce qui n'explique d'ailleurs pas mon caractère de cochon. J'ai eu cette chance de graviter dans le monde du show-biz, de baigner même dans la mode en suivant mes parents au gré de leur travail. Petite déjà, je m'amusais à prendre les vieilles robes de maman et défiler devant mon papa qui me donnait ses trucs et astuces. A force d'être invitée aux défilés de papa et de côtoyer des hommes et des femmes de ce monde-là, j'ai fini par vouloir moi aussi en faire partie et à tout faire pour prendre des centimètres. La génétique m'a tant bénie qu'à 11 ans je faisais déjà 1m58 dépassant les enfants de mon âge en plus de faire la fierté de mon père. J'ai été introduite auprès de ses relations et j'ai fait mes débuts sur un podium à l'âge de 12 ans en défilant pour un couturier pour enfant. Si j'avais vu mon père faire des milliers de fois et que j'avais bénéficié de ses conseils en la matière je n'en étais pas moins fébrile et stressée de faire mes premiers pas sur le podium sous les objectifs de photographes et les yeux des membres du cercle de la mode comme mon père l'appelait. Le mannequinat était une discipline très dur, devoir se changer en peu de temps sans devoir se décoiffer, porter des vêtements unique qui valaient des vies entières de salaires, défiler le matin à New-york, l'après-midi à Paris et finir en soirée par un petit shooting à Londres était épuisant tant physiquement que nerveusement.
Malgré tout, j'ai été une enfant très heureuse. Je n'ai pas été abandonnée par des parents trop prit par leur carrière respective, ni balancée dans un pensionnat pour jeune privilégier en ne les voyant qu'une fois par an. J'ai eu la chance de pouvoir étudier dans les écoles les mieux cotées et j'ai poursuivit ma carrière de mannequin en parallèle. A 24 ans j'ai été diplômée de l'université dans le management histoire de faire taire les mauvaises langues qui disent que les mannequins sont stupide et n'ont rien dans la tête et j'ai continué ma carrière jusqu'à 28 ans, jusqu'à ce que de moi-même sans être poussée je veuille donner ma chance à celles qui contrairement à moi n'en avait pas eu, j'avais tant eu de chance dans ma vie et j'avais fait le tour du mannequinat au point que c'en était devenu ennuyant, j'avais besoin de faire autre-chose sans avoir l'envie de me détourner de la mode. Je suis ainsi devenue agente artistique dans une agence que mon père avait lui-même créé et c'est là que tout a commencé. Au début, j'avais à cœur d'aider les personnes avec peu de moyens et au fur et à mesure j'ai remarqué que la plupart ne se servait de moi que comme un moyen d'atteindre leurs objectifs comme si tout leur était dû, mes heures de travail flexibles et acharnées, n'étaient jamais remerciées, j'étais à la botte d'une bande d'ingrats et d'ingrates superficiels. Cela m'a changé définitivement, le stress m'a fait commencé la cigarette pour ne pas me ruer sur les sucreries et doubler de volume et depuis je n'ai plus réussi à me passer que ce soit de ma mauvaise humeur caractéristique ou de mon paquet de cigarettes journalier.
J' en ai vu défiler des jeunes filles par centaines, par milliers même sans me rappeler de leur prénom car tout ce qu'elle dégageaient c'était un beau corps et la plupart du temps rien dans la tête. Je vis aussi passer des candidats de genre masculin et des personnes rondes car ne croyez pas que j'étais du genre à refouler les futurs mannequins parce qu'elles étaient plus rondes que d'autres ou plus petites. j' aimais les personnes qui assumaient leur physique peu importe si il était engageant ou pas pour elle c'était le principal pour ne pas se laisser influencer par les haters nombreux et sombrer dans une détresse profonde et irrécupérable. La mode était exigeante et au fur et à mesure de voir des personnes fondre en larmes pour mes refus, j'ai fini par devenir plus acérée et moins disponible affichant sur son visage une expression constante de mauvaise humeur. Une armure qui me permettait de me protéger.
Quant à mes relations c'est un détail qui n'engage que moi, mais je ne ferme aucune possibilité, je tombe en accroche pour une personnalité et non un genre précis. Je n'ai pas trouvé chaussure à mon pied ce qui est un comble pour une ancienne mannequin qui enchaîne les paires de chaussures les plus coûteuses dans le monde vous ne trouvez pas ?
Je suis venue au Japon parce que j'avais besoin de trouver des perles rares et pourquoi ne pas tenter ma chance dans cette école artistique qui vantait de pouvoir créer des stars. J'ai décider d'aller voir par moi-même et de prendre sous mon aile 4 ou 5 de ces filles, si elles veulent arriver à percer que ce soit dans le domaine de la mode, de la musique ou autre, ils leur faudra une agente et ce sera moi !! Au début mon père ne voyait pas pourquoi je souhaitait me rendre dans le pays ou les dents de travers et les oreilles en choux-fleurs étaient considérés comme beau, mais c'était surtout le fait de changer d'air, d'avoir de nouveau défis loin de l'ombre de mon père qui commençait à peser sur moi et le besoin de faire mes preuves qui m'avait motivé. En plus, la Yuri-Academia était une école avec des élèves venant de partout alors j'allais bien réussir à dénicher la candidate parfaite et en faire la mannequin la plus cotée de cette nouvelle génération. Si cette candidate savait chanter, jouer d'un instrument, peindre ou jouer la comédie c'était pour moi un plus qui la rendrait populaire et lui permettrait une carrière double. Mon père m'avait donc envoyé dans une de ses agences délocalisées au Japon et m'avait donnée le défis de faire remonter le cote de cette agence qui ne fonctionnait pas bien d'après les statistiques.
Plutôt modèle ou rebelle ?
Caractère : Je suis exigeante, très exigeante même je sais que la perfection n'existe pas, mais je fais des efforts chaque jour pour m'en rapprocher et je demande cela aussi de la part de mes protégées. Je suis catégorique et je ne me démène pas pour une petite emmerdeuse qui n'a aucun cran, car il faut en avoir de la personnalité et de la force d'esprit pour supporter la célébrité. J'aime les défis et je suis prête à accompagner sur le chemin de la gloire les personnes qui sauront m'épater et me faire entrevoir autre-chose que leur jolis sourires et leurs flatteries. J'ai toujours l'air de mauvaise humeur parce que ça m'ennuie de sourire en permanence ça fait mal aux muscles et j'ai assez fait de couvertures ou de défilés pour me débarrasser d'un masque social et puis c'est une armure comme je l'ai dit précédemment ça me permet de me détacher de mes candidates même si intérieurement je ne suis pas une lâcheuse et que je les prends sous mon aile et les bichonnent dans le secret le plus total. A ce qu'on dit je suis avare, c'est pas faux j'aime le fric et le confort qu'il apporte, j'aime me faire plaisir mais au prix le plus bas et je déteste qu'on me tienne tête quand je sais que j'ai raison. En amour, je suis dominatrice la plupart du temps et je n'aime pas qu'on joue avec moi, ou c'est oui ou c'est non mais je n’accepte pas les peut-être et les je sais pas, quand je vous dit que j'ai été trop gâtée. J'en ai pas l'air mais je suis très nerveuse et je canalise ma nervosité en fumant des clopes bien que j'essaie d'arrêter il y a toujours un truc qui me fait replonger dans ce vice. J'ai toujours peur que quelque-chose se passe de travers, quand je suis sur la scène je peux gérer, quand je dois faire confiance à un talent que j'ai coaché je n'arrive pas à lui faire totalement confiance de peur qu'il se plante et ça me fait fumer comme un pompier.
Miroir mon beau miroir
Physique : Je plafonne à une auteur de 179 centimètres très exactement avec de belles et longues fines jambes que je mets en valeur à la moindre occasion. Il est très agréable pour moi de dépasser la plupart des gens, j'aime les regarder de haut sans vouloir paraître condescendante. La nature m'a bien gâtée autant que mes parents je dirais, j'ai de longs cheveux bruns sans entrer dans des détails de nuances qui ne seront pas retenues de toute façon et j'ai des beaux yeux de la même couleur, mais heureusement pour moi ce qui fait la différence c'est mon visage qui est très photogénique et en harmonie avec mes formes féminines que je n'ai pas eu besoin de retoucher grâce à l'aide d'un chirurgien, de ce côté là c'est du naturel, même si j'ai un sein un peu plus petit que l'autre et que le savoir me dérange ça ne se voit pas trop à l’œil nu. Côté vestimentaire, j'ai une garde-robe assez hétéroclite les plus belles et coûteuses de mes tenues sont gardées pour les cérémonies quant au reste de l'année je m'amuse à porter du classique ça me donne l'air d'une femme d'affaire qui ne lâche jamais prise et j'adore cela. Malgré le fait que je fume, j'ai un sourire éclatant duquel je prends soin comme tout détail dans mon apparence en fait étant obligée de me lever une ou deux heures avant l'heure de mon réveil prévu pour me préparer et m'afficher en public sous mon meilleur jour.
Qui es-tu vraiment ?
Age : on demande pas ça à une femme ! + que 18 ans c'est déjà ça !
Avatar : Chabashira Sae/Youkoso Jitsuryoku Shijou Shugi no Kyoushitsu e
Localisation : En confinement chez moi
Pourquoi ce forum ? : Parce que c'est mon DC
As-tu déjà fait du RP ? : OUI
Voudrais-tu avoir une marraine sur le forum ? : non
Code de validation :
Si tu nous montrais ce que tu sais faire ? :
- Spoiler:
Je n'avais pas envie de rire en débarquant sur le sol japonais, il avait fallu qu'il pleuve à tel point qu'une fois dehors on ne voyait rien. Je suis tombée sur une pancarte avec mon nom et un petit homme qui devait se mettre sur la pointe de ses pieds pour me suivre avec le parapluie tant et si bien que ça a fini par me gaver et que j'ai pris le parapluie moi-même en lui laissant mes bagages. Il me conduisit à l'agence dans laquelle j'étais rentrée juste en le demandant, vu mon CV je n'avais eu aucun mal à être engagée et la directrice en question en plus de finir directement dans mon lit m'avait quasiment suppliée pour que je la rejoigne. L'auberge dans laquelle on m'avait logée était terriblement pittoresque et reflétait ce symbole de tradition nippone qu'on essayait de faire avaler à tout les touristes jusqu'à l'indigestion qui manque de bol était déjà arrivée chez moi dès que j'avais posé mon pied moulé dans une chaussure hors de prix dans une flaques d'eau froide et trouble à cause des gouttes d'eaux qui se déversaient en trombes et éclaboussait tout sur leur passage. Le parapluie qu'on m'avait filé était si petit que j'avais eu l'impression d'avoir volé celui d'un gosse de maternel, s'en était presque caricatural. Je soupirais une fois au sec et je remballais l'autre suiveur pour visiter la configuration des lieux. Une chambre digne d'un spartiate avec le stricte du stricte minimum, un lit, une armoire et baste pas de fantaisie, pas de décoration mis à part cet affreux papiers peint qui se décollaient dans les coin au niveau du plafond ! Vu ma hauteur je devais être la seule habitantes à remarquer ce détail-là !
- Bordel ! Vite une clope ! Hey! Merde la pluie à mouillé mon paquet !!