Prénom : Freyja
Nom : Latoleya
Origines : Suédo-Americaine
Âge : 10 ans
Etudes : petite étoile
Club : /
Métier : /
Aime : La magie, les bonbons, les mangas, le cinéma
Aime pas : Qu'on la compare trop à ses parents, qu'on la prenne de haut
Qualités : joyeuse, énergique, passionné.
Défauts : Assez égoïste, trop sur d'elle, un peu égocentrique.
Il était une fois...
Histoire :
C’est dans la ville la plus connue du monde pour son cinéma que la petite Freyja vit le jour. Vu son nom, on aurait pu croire qu’elle serait née dans les contrées du fjord, mais ce n’était pas le cas, en revanche pour ce qui était de sa mère, elle naquit bien en Suède. Embrassant la carrière d’actrice, cette dernière eu la chance d’avoir un très bon talent lui permettant de se faire remarquer. Assez rapidement, elle partit aux Etats-Unis, plus précisément à Hollywood et réussi à faire son petit bonhomme de chemin, devenant assez célèbre. Là-bas, elle rencontra son futur mari, acteur lui aussi, avec qui elle finit par avoir un enfant.
Cet enfant, vous l’aurez compris, il s’agit de Freyja, sa mère voulue lui donner un prénom de son pays, un peu pour rappeler ses origines. Depuis sa plus tendre enfance, Freyja à vécu dans le luxe. Il fallait dire que vu ses parents, ce n’était pas étonnant. Grande maison, piscine luxueuse, terrain immense, elle ne manquait de rien et en général, elle pouvait avoir tout ce qu’elle voulait. Tout ? Ce n’est peut-être pas exact, car si pendant ses premières années ses parents étaient assez présents, rapidement leur emploie du temps reprit le dessus et ces derniers pouvait s’absenter pendant de longues périodes, la laissant au soin d’une gouvernante, pour des tournages. Malgré tout, s’il y a bien une chose qui caractérise Freyja, c’est bien l’amour qu’elle a pour ses parents. Elle les aime et plus que ça, elle les idéalise, pensant presque qu’ils sont parfaits. Il fallait dire qu’ils avaient, peut-être contre tout attente, réussi à démontrer leur amour pour leur fille. Bien qu’elle pouvait avoir tout ce qu’elle voulait, ils avaient tout de même fait en sorte de lui apprendre les bonnes manières et les limites à ne pas dépasser. C’est pour cela que bien qu’elle puisse se montrer égoïste sur certain point et un peu égocentrique, elle n’était pas pourrie gâter ou totalement irrécupérable. C’était simplement une gosse de riche, ce qui se voyait facilement, mais avec tout de même une éducation correcte.
Alors qu’elle avait sept ans, elle commença à se prendre de passion pour deux choses. La première, et cela n’a rien de surprenant, ce fut le cinéma. Ces parents travaillant dedans, elle s’intéressa à leur métier et eu l’occasion à plusieurs reprises de les accompagner. Dès lors, elle décida qu’elle aussi allait travailler là-dedans plus tard. Ces parents ne ratèrent pas l’occasion et l’inscrit à des cours d’art dramatique, Freyja eu même l’occasion de jouer de petit rôle à leur côté. Bon en général, ce n’était que des apparitions temporaires avec très peu de dialogue, mais cela suffisait pour la confortait dans l’idée qu’elle voulait faire parti du monde du cinéma.
Sa seconde passion est un peu plus étrange, quoi que pas tant que ça vu son âge, mais plus par rapport à son intensité. Elle adorait la magie, cela la faisait rêver au plus haut point. Elle l’avait dans un premier temps découvert via des dessins animés, puis via des films. Elle était devenue tellement passionnée par cela qu’elle s’est mis à faire des recherches dessus. Cependant, elle était victime d’un paradoxe. Autant elle rêvait de pouvoir utiliser la magie, voir de la créer, autant elle savait que cette dernière n’existait pas. Elle avait très rapidement vu que la magie dans les films était due à du trucage et du montage vidéo, ainsi, tout au fond d’elle, elle savait que ce qu’elle faisait était inutile. Pourtant, il y avait toujours une pointe d’espoir, une pointe qui la faisait continuait ses recherches, ce petit « et si » qui ne parvenait pas à partir.
Dans tous les cas, elle savait que ces recherches n’étaient pas perdues. Son envie de travaillait de le cinéma n’avait pas bougé, mais elle ne savait plus trop si elle voulait devenir actrice, réalisatrice, scénariste ou autre, en tout cas, ce qui était sûr, c’était qu’elle voulait tourner ou créer une saga sur la magie, et c’est pour cela que ces recherches et sa passion lui serait utile un jour.
Cependant, plus le temps passait, et plus elle se rendait contre de quelque chose. Elle se heurtait à un mur invisible, celui de ses parents. Que ce soit à l’école de dramaturgie ou dans les petits rôles qu’on lui avait donné, à chaque fois, on la comparait à ses parents. Elle savait qu’elle n’était pour le moment pas aussi douée qu’eux, mais en même temps, elle n’avait que peu d’expérience ! Ce mur, purement psychologique, lui faisait ressentir un complexe d’infériorité vis à vis d'eux, finissant même par la faire douter parfois de son talent, alors que ces parents eux-même lui disait qu'elle était née pour être actrice. Cette comparaison constante finissait par l’étouffer, et bien que l’amour qu’elle éprouvait pour eux n’avait pas changé, elle se sentait comme emprisonnée dans leurs mains, incapable de sortir de leur influence. C’est alors qu’elle entendit parler à son école d’une académie spécialisé dans la formation des futures artistes à l’autre bout de la planète et qui avait assez bonne réputation.
Convaincre ses parents de la laisser aller là-bas ne fut pas facile, et ces derniers n’acceptèrent qu’à condition qu’elle atteint un certain niveau de japonais. Il lui fallut un peu moins d’un an avant qu’elle y parvienne, mais alors qu’elle avait dépassé les dix ans, elle fini par avoir l’autorisation de s’inscrire pour la prochaine rentrée. Passer l’audition d’entrer ne lui fut pas difficile, en même temps, cela faisait déjà trois ans qu’elle apprenait le jeu d’acteur, sans être excellente, elle avait quand même un petit niveau.
Plutôt modèle ou rebelle ?
Caractère : Freyja est une enfant, une enfant qui a grandi trop vite vis-à-vis de certain point, mais une enfant quand même, et cela se ressent dans son attitude et dans son caractère qui peut être puéril parfois. S’il y a une chose à retenir, c’est que même si parfois elle peut se montrer brusque ou un peu moqueuse, qu’elle peut prendre un peu les gens de haut ou se montrer égoïste, foncièrement, elle n’est pas méchante, loin de là.
Freyja est quelqu’un d’intelligent, ce n’est bien sur pas un génie, mais elle n’a jamais eu de difficulté à l’école. On peut même dire qu’elle est plutôt douée quand il s’agit de chose qui la passionne, elle arrive par exemple à comprendre, pas entièrement certes, des livres ésotériques parlant de magie tel que la petite clé de Salomon ou des livres parlant des runes nordiques.
De l’extérieur, pour des personnes qui ne la connaisse pas, elle peut ressembler à une princesse ou une petite reine dans sa façon de se comporter, pourtant, si les autres enfants se réunisse autour d’elle, c’est parce qu’elle est du genre à se préoccuper d’eux et à les aider en cas de besoin, à son niveau bien sûr.
Freyja pourtant est assez égoïste en soit. Pas avec tout, par exemple, elle n’hésitera à donner de son argent de poche si jamais quelqu’un en à besoin, en revanche, elle aura beaucoup plus de mal à prêter ou donner des affaires personnelles auxquelles elle tient comme des livres de magie ou autre chose du genre. Bien que gentille, elle n’a pas non plus le cœur sur la main.
Il y a en revanche une chose que personne ne peut contester à son sujet, c’est que c’est un véritable rayon de soleil. Elle est toujours joyeuse et de bonne humeur, une véritable petite boule d’énergie, sans doute même trop parfois. Et si en plus vous mêlez à ça une de ses passions, elle devient tout simplement inarrêtable. Son caractère fait qu’elle à souvent tendance à emmener les autres à sa suite, en bien comme en mal.
La confiance en soi est aussi une qualité que possède Freyja, il fallait dire que ces parents l’avaient pas mal aidé de ce côté, la mettant souvent en avant et la félicitant quand elle réussissait quelque chose. Pourtant ça lui arrivait quand-même de doutait d’elle, surtout quand les gens la comparent sans cesse à ses parents dont elle sait ne pas leur arriver à la cheville pour le moment.
Bien qu’elle ne s’en rende pas compte elle-même, Freyja est un peu égocentrique. Il fait dire aussi qu’elle est un peu habituée à ce que tout tourne autour d’elle, alors sans en être devenue une habitude, c’est quelque chose qu’elle à prit pour acquit. Ce n’est pas pour autant qu’elle est devenue une ‘moi Je’ en soit, elle sait garder les pieds sur terre, mais cela peut se ressentir dans son attitude de temps à autre.
Un dernier point la caractérisant, c’est l’amour et la fierté qu’elle porte à ses parents. Elle est vraiment heureuse d’être leur fille et les aime au plus haut point. Cependant, à force de tout le temps être comparé à eux, un petit complexe d’infériorité à fini par naître, créant un léger déséquilibre dans ce qu’elle ressent.
Miroir mon beau miroir
Physique : L’apparence de Freyja peut sembler atypique au premier coup d’œil. En effet, cette dernière idolâtrant sa mère tout comme son père, elle décida d’avoir la même couleur que cette dernière, couleur qui fit d’ailleurs en partit son succès, les cheveux blancs. Bien entendu, que ce soit dans le cas de sa mère ou d’elle, ce n’est pas naturel, cependant, puisque de base elles avaient les cheveux blonds très clair, elles n’ont pas besoin d’utiliser une teinture trop forte pour les faire devenir blanc. Pour ce qui est de leur longueur, les laissant pousser depuis son enfance en ne coupant que ce qui est nécessaire, on peut dire que ces derniers sont longs, lui arrivant au niveau du postérieur, ce qui n'était pas compliqué n'étant pas bien grande. Cela demande beaucoup de soin pour les garder en bon état, mais avec le temps, elle prit l’habitude. Pour ce qui est des yeux, ils sont aussi bleus que ceux de sa mère.
Bien que n’étant pas particulièrement musclé, Freyja est en bonne forme physique. En revanche, on ne peut pas vraiment dire qu’elle fait du sport par passion, loin de là. Si cela ne tenait qu’à elle, elle resterait dans le canapé à manger des gâteaux ou sur une chaise à étudier des livres de magie. Cependant, elle sait qu’elle à besoin d’en faire où cas où elle déciderait de devenir actrice.
Pour ce qui est de ses habits, une fois encore, on peut dire que ces derniers sont inhabituels. Elle aime porter des créations uniques qu’elle fait faire ou qu’elle n’hésite pas à modifier. Ces derniers ressemblent souvent à des tenues de monde fantaisiste ou à des cosplay, ce n’est par ailleurs pas étonnant de retrouver des cercles magiques cousus dessus, ou des symboles runiques. Heureusement, son jeune âge et le fait qu’elle vienne d’une famille célèbre font que souvent, les gens la trouvent mignonne plus qu’étrange.
Qui es-tu vraiment ?
Age : 27
Avatar : Mira de Kenja No Deshi Wo Nanoru Kenja
Localisation : France
Pourquoi ce forum ? : because j'y été déjà
As-tu déjà fait du RP ? : oui
Voudrais-tu avoir une marraine sur le forum ? : non
Code de validation :
Si tu nous montrais ce que tu sais faire ? :
- Spoiler:
Descendant de l’avion, Freyja fit pour la première fois de sa vie et aussi pour la dernière son tout premier pas sur le sol japonais. Elle n’arrivait toujours pas à croire qu’elle avait réussi à convaincre ses parents de la laisser venir ici, mais pourtant, elle y était bien, elle allait pouvoir étudier à la Yuri Academia et peut-être enfin se détacher de l’ombre de ses parents. En parlant d’eux, la blanche se retourna pour les voir descendre l’escalier et arriver sur le tarmac. Bien qu’elle ne s’y attendait pas, ils avaient tous les deux décidé de l’accompagner pour son entrée dans l’académie, mettant même en pause leur tournage à cause de cela. Cependant, ce n’était pas elle qui allait s’en plaindre. Elle avait pensé pendant un moment avoir le droit à sa gouvernante, et même si elle l’aimait bien, elle ne faisait pas le poids face à ses parents.
Leur faisant un petit sourire, elle leur prit la main avant de se diriger avec eux à ses côtés en direction d’un taxi qui les attendait. Ces parents ne parlaient pas le japonais, heureusement, le chauffeur comprenait l’anglais. Durant le trajet, Freyja profita de ses derniers instants avec ses parents avant un long moment. Même si elle avait le droit de repartir chez elle pendant les vacances, si cela tombait lors de tournage pour ses géniteurs, alors elle resterait ici, ainsi, elle ne savait pas vraiment quand elle allait pouvoir les revoir.
Descendant du taxi, elle se retrouva devant les grilles marquant l’entrer de l’académie. D’autres enfants accompagnés de leurs parents, ainsi que des collégiens ou des lycéens se préparer eux aussi pour leur entrer. Déjà, elle pouvait voir des personnes se retourner alors que ses parents sortaient de la voiture, murmurant entre eux. Même s’ils étaient moins connus dans le pays du soleil levant, ils avaient quand même participé à de gros films, et la Yuri Academia étant spécialisé dans les artistes, ce n’était pas étonnant qu’on les reconnaisse, cependant, elle n’avait pas envie de se préoccuper de ça pour le moment.
Son père s’accroupit pour se mettre à sa hauteur alors que sa mère se pencha un peu dans sa direction.
- Ça va être l’heure de faire nos au revoirs, dis ce dernier.
- Oui, répondit Freyja.
Même si elle ne le montrait pas, cette phrase lui fit mal au cœur, et involontairement, des larmes commencèrent à apparaître aux coins de ses yeux. Bien que quelque part, elle venait ici pour les fuir, ou plutôt pour fuir leur influence, elle ne voulait pas être séparée d’eux. Pour cacher ses larmes qui commençaient à perler, elle les prit dans ses bras, enserrant leur cou de ses petits bras mince. Elle resta ainsi quelques secondes alors que ses larmes finirent pour se frayer leur chemin. Ses parents lui rendirent son câlin, pouvant sentir la tristesse de leur fille, ce qui, bien que les attristant eux-mêmes, les rassuraient quant au fait qu’elle ne les détestait pas.
- Je vous aime, je vous aime très fort, murmura-t-elle à leurs oreilles.
- Nous aussi ma chérie.
Freyja resta ainsi pendant encore quelques secondes, essayant de tarir la source de ses larmes avant de se séparer d’eux. D’un geste de la main, utilisant la mange de sa tenue toujours aussi fantaisiste, elle essuya ses larmes avant de leur faire à sourire comme elle en avait le secret. Elle attrapa alors sa valise puis, leur faisant un dernier bisou sur la joue, elle leur fit signe avant de se diriger vers l’académie, traversant le portail. Il était temps de rencontrer son destin.