Prénom : Yuma 愉麻
Nom : Komegata
Origines : Japonaise
Âge : 25 ans.
Etudes : Licence d’enseignement en distanciel, en cours.
Club : Pas de club supervisé à ce jour.
Métier : Surveillante.
Aime : Les jeunes – Le dépassement de soi – Les pâtisseries – Le Sukiyaki – Les jeux – Le sport.
Aime pas : Routine trop routinière – Être alitée – Ne pas fêter les anniversaires – Se sentir étouffée – Les Takoyakis – la connexion qui s’en va.
Qualités : Aventurière – Épicurienne – Naturelle
Défauts : Moralisatrice – Brute de décoffrage - Désorganisée
Il était une fois...
Histoire :
C’est un peu l’histoire de la contradiction.
Et le mode d’emploi qui t’apprend à foirer ton image aux yeux des autres.
Ç'a commencé à la petite école, quand la prof avait demandé aux élèves d’écrire ce qu’ils voulaient devenir. Elle s’attendait probablement aux mêmes types de réponses :
« Je veux devenir médecin ! Avocat ! Institutrice ! Vétérinaire de poney ! » Puis vient Yuma et son ambition de devenir
« mangeuse salariée ». Encore faut-il qu’elle connaisse déjà ce mot. Mais du haut de ses 6 7 8 ans, c'est pas gagné. En plus de ne pas avoir d’humour, Madame copie le modèle manichéen saveur professorale. Tout de suite, elle décide que Yuma n’a pas d’avenir. Qu’elle n’est bonne à rien. Par raccroc, la concernée s’en tamponne. Parce qu’elle avait déjà tout ce qu’il lui fallait. Une mère qui fait des miracles culinaires, un père qui ramène du poisson frais de son travail et un grand jardin où se dépenser, courir après sa grande sœur en menaçant de lui couper les cheveux. Dans ces cas-là, pourquoi se fouler à se créer un avenir ?
Là où la professeure n’a pas tort, c’est que de l’école, elle s’en balance. Avec des notes irrégulières, du temps passé à faire l’école buissonnière et les appels reçus après quelques séances de crêpages de chignon, Yuma se fait très souvent taper sur les doigts. On essaye de la canaliser en l’inscrivant au judo et en voyant que rien ne change malgré son affection pour la difficile, on tranche. Décision simple et efficace : un billet aller sans retour pour la maison de grand-père et grand-mère. Pour la première fois de sa vie, Yuma a le blues. Elle s’ennuie comme jamais et se fait fliquer non-stop par les abominables viocs sans pitié. Mais comme tout n’est pas que grosse poisse -pas pour l’instant- c’est grâce à ça qu’elle rencontre Kyoko, son double de galère avec qui elle entretient une relation étrange de « bouche-trouïsme » et de liaison.
Étonnamment, ça dure. Ça dure assez pour qu’après l’obtention de son diplôme de fin d’études, elles s’installent ensemble dans la ville de Yuma qui travaille dans le restaurant de son oncle pendant que Kyoko se fait recruter en tant qu’hôtesse. Mais puisque toute bonne chose a une fin, d’après un dicton, elles se séparent pour des objectifs différents et chacune repart de son côté. Yuma réadopte sa vie de locataire dans la maison familiale quand Kyoko s’en va ouvrir son salon d’esthétique. Après avoir passé avec brio la phase « cafard », une petite lumière s’éclaire dans la tête de Yuma qui décide de reprendre ses études pour devenir enseignante -une bonne claque pour l’enseignante aigrie- sans s’arrêter de travailler. Mais cuisiner ça ne lui plaît plus. Alors, elle quitte du jour au lendemain l’établissement familial et cherche un travail, bouchons d’oreilles enfoncés dans les tympans pour ignorer les semonces de ses parents sur son irresponsabilité. Et puis, le saint Graal. Un job de surveillante dans une école bien côté. Yuma s’étouffe avec son thé. Bingo. Quitte à étudier pour travailler dans l’éducation, pourquoi ne pas renforcer son curriculum en y mettant les pieds ? Ni une ni deux, elle postule.
Yuma est confiante.
Elle sera prise sans nul doute.
Et si ça n’est pas le cas, suffira de supplier son oncle ou de fuir la ville pour jouer les nomades.
Mais peu importe l’issue, tant qu’elle se sent bien, le reste n’a pas d’importance !
Plutôt modèle ou rebelle ?
Caractère :Il n’y a rien de pire que de vivre dans la peau d’une autre, sauf si peut-être tes épaules sont assez robustes pour le supporter ou que le jeu d’acteur est l’une de tes qualités innées. Pour ce qui est de Yuma en revanche, ça n’est pas son cas. D’une part, parce que jouer la comédie sans être certaine que ce n’est que pour le fun, ça n’est pas possible et d’autre part, puisque pour elle l’authenticité est une règle d’or.
En bref, elle a tranché pour le naturel, vivre comme un électron libre, à faire ce qui lui semble être bon pour elle. Vingt ans auparavant, ça signifiait sautiller dans les rues et s’égosiller comme ça n’est pas permis, et bon sang, ce que c’était bon ! Mais maintenant qu’elle a dépassé la barre des quinze ans, on dit que la décence pour un adulte veut qu’on se tienne un tant soit peu à carreau. Et pour ça, elle a quand même décidé qu’elle s’y conformerait. En tout cas, en public inconnu, ce, même si elle n’apporte pas trop d’intérêt à ce qu’il se dit sur elle. Après tout, dites-nous, qui la connaît mieux qu’elle ? Hah.
Yuma aime la vie autant qu’elle s’aime. Elle vaut la peine d’être vécue, dévorée à pleines dents comme on le ferait avec son plat préféré. Il lui arrive d’être lourde et sacrément sadique, rien qu’à te laisser marcher sur une crotte de chien fraîche ou bien rater un entretien d’embauche. Mais il n’empêche qu’elle regorge d’opportunités qui ne demandent qu’à être attrapées. « C’est du
fiftyfifty ». Rien n’est ni blanc ni noir, c’est la surveillante qui te le dira. Car elle aime beaucoup parler, notamment pour te donner des conseils, l'affirmation secrète de sa maturité. Si les trois quarts du temps, ils sont plutôt pas mal, il arrive aussi que l’on puisse s’en passer, à priori quand ça tend vers les sermons. Sachez-le, elle s’y connaît là-dedans sans même s’en rendre compte, peut-être pour ça qu’elle passera le plus clair de son temps à fliquer les gamines qui seront sous sa charge. Ceux qui la connaissent auront tendance à avoir pitié de ces pauvres enfants qui auront eu le malheur de faire une bêtise et recommanderont aux plus sages de le rester. Loquace et spontanée, ça ne fait pas toujours bon mélange.
Mademoiselle Komegata – ou Kuma-san pour les plus hardis- est une surveillante, l’une des plus cools qu’il soit. En tout cas, c’est ce qu’elle compte devenir quand, à côté, elle ambitionne de rayonner auprès des autres. De quoi prouver aux plus ermites que les vertus du collectif sont bien trop géniales. Tant qu’on ne lui manque pas de respect. Puisque attention ! Être gentille n’est pas synonyme de clown, gamine ou martyr, c’est une chose qu’il te faudra retenir. Ça serait vraiment dommage de ternir les début d'une super amitié, sauf peut-être si tu es du genre à apprécier les rapports houleux et plus poivrés.
Miroir mon beau miroir
Physique : Ce qui est petit est mignon.
Yuma n’est pas petite, pas forcément mignonne selon le proverbe. Tant mieux, car la mignonnerie n’est profitable que pour les bout-de-choux, d’après elle. Elle aurait voulu être grande, très grande, plus grande que tous ces basketteurs professionnels qu’elle matait à la télé, ou que tous ces géants fantastiques aussi hauts que l’Everest. Ouais ‘fin pour ce qui était de l’Everest, c’était valable jusqu’au seuil de la préadolescence, là où l’abus était encore de légion. 'Faut pas abuser non plus. Positivité oblige, elle se complaît quand même de sa mensuration qui dépasse généralement celle de ses proches. Ni très petite ni très grande. Un juste milieu renforcé par un corps vigoureux et ,il semblerait, agile quand il est question de sport et de ninjardise -va lui demander ce qu’elle entend par-là-.
Théoriquement pas «
cute » peut-être, et pourtant elle en possède les caractéristiques, si est vrai la pensée qui veut que tout ce qui est attrait à un enfant est trognon. Visage poupon, air jovial et énergie infantile, dans la famille, on s’époumone à lui prier de se montrer plus coquette, que des filles qui n’ont pas sa chance tueraient pour avoir cet avantage. En bref : chez la branche des Komegata, on aime le
kawaï. Chez soi, pas chez les autres. La bonne nouvelle, c'est qu’elle l’aime tout autant, la mauvaise, par contre, c'est qu’elle l’aime chez les autres et pas chez elle. En tout cas pas sur le long terme. Tu vois où est le hic ?
Fervente amoureuse du décontracté ensoleillé, Yuma apprécie se vêtir de vêtementsagréables aux couleurs animées qu'ils soient coquets ou non, cacher le sommet de sa tête d’une casquette choppé en édition limitée. Assemblé à ça, lui servent souvent de collier un sifflet et un chronomètre. En général, elle se contente de sortir le minois vide de tout maquillage, même s’il arrive qu’elle fasse quelques exceptions qui se résument aux soirées. Là où les artifices sont de sorti, elle se permet d’en porter tant qu’elle sait l’appliquer. Mais il n’empêche pas qu’elle apprécie prendre soin d’elle, de sa peau et du reste à travers divers soins qui vont du bain d’huile, aux massages réguliers. Tout est prétexte pour se relaxer après le labeur et ainsi exprimer son euphorie par le biais de ses yeux pers.
Qu’on aime ou qu’on n'aime pas sa dégaine, Yuma se convient. Pas besoin de plus, pas besoin de moins dans le quotidien. Ça devient différent s’il faut se mettre sur son 31. Quand elle y pense, elle remercie l’existence de lui avoir fourgué aussi peu de complexes, de difficultés à s’aimer. Personne n’est parfait, qu’on dit, c’est clair ouais, sauf peut-être si ta définition du parfait ne se résume pas à posséder toutes les meilleures caractéristiques physiques et morales du monde. Pour ce qu’il s’agit de sa vision des choses, toutefois, ça n’est clairement pas le cas. Et le moins que je puisse te dire : c’est qu’aux yeux de Yuma, Yuma est presque parfaite !
Qui es-tu vraiment ?
Age : Vingtaine
Avatar : Subaru Oozora - Hololive
Localisation : France
Pourquoi ce forum ? : Parce que je l'apprécie depuis très longtemps.
As-tu déjà fait du RP ? :
Voudrais-tu avoir une marraine sur le forum ? : non
Code de validation : SPOOKY AND WOOKIE HALLOWEEN DAY
Indice de présence : Une note allant de 1 à 10 pour jauger votre temps de réponse à un RP, 1 étant faible et 10 toujours là.
Si tu nous montrais ce que tu sais faire ? :
- Spoiler:
« Bon. C’est pas gagné.
Si je mate bien les informations qu’il y a sur cet établissement, tout laisse à croire qu’il y aura une tonne de demandes à ce job. En d’autres termes : il y a du pain sur la planche. »
Plutôt que de se ronger les sangs, l’inactive volontaire -pour changer- machouille son crayon pendant qu’elle réunit les infos qu’elle peut chipper par-ci et par-là sur Yuri academia. Bien entendu, ça ne lui est pas du tout venu en tête de se s’instruire sur la matrone des lieux. Faut dire qu’elle n’avait pas trop envie de lécher les bottes d’une inconnue sans qu’elle ne pense vraiment ce qui sortirait de sa bouche. Et puis, pas sûr que ça marche cette technique. A force d’être toujours utilisé, ça rend insensible à son but premier.
Bref. Après avoir fermé le cahier et enlevé ses bouchons pour constater que le calme est retombé dans la baraque, elle part se coucher dans son lit, sourire aux lèvres. Y’en a une qui allait passer une très bonne nuit, sans inquiétudes, sans grandes attentes, à part d’être prise, mais chut. C’est le principe, non ? À voir si elle recevrait un avis d’entretien d’embauche. Rien ne garantissait qu’elle serait prise.
Mais rien ne garantissait qu’elle ne le serait pas.
Donc, à quoi bon s’arracher les cheveux ?
On n’a pas le temps.
Il faut dormir,
Car l’avenir nous attend.