Sara Farhër - terminé

   

   

   Histoire : Sara est née en Allemagne il y a de cela 17 ans, elle avait béni de sa présence ses parents qui n'attendaient plus qu'elle pour former une famille. A la maison, son père travaillait comme chauffagiste indépendant et sa mère était secrétaire pour son père. Rien ne laissait présager qu'un jour Sara se retrouverait élève dans une école à des milliers de kilomètres de sa maison pour faire de l'équitation et du saut d'obstacle à haut niveau. Elle découvrit l'équitation et l'amour des chevaux comme bon nombre d'enfants, à force de 10% de "s'teuplaît ! Mon petit papa d'amour!" de 50% de "ouiiinnn! Je veux monter à cheval!", de 20% de "je m'en occuperais bien!" et 20% de "je te promets que je serais sage!" Le tout répété plusieurs fois par jours et au bout d'un long, très long, très très long moment où Sara n'avait pas lâché son idée, ses parents plièrent.

Elle prit son tout premier cours à 6 ans sur un poney  Shetland réputé docile, qui a l'époque lui paraissait énorme et sur lequel elle avait du mal à tenir  assise tellement il était gros. Sara fut mordue d'équitation, c'était sa passion qu'elle partageait avec ses amies du manège et ses amies d'école. Elle n'était pas l'élève la plus assidue et obtenait régulièrement des punitions et des commentaires défavorables pour ses notes qui oscillait entre "le pas trop mauvais" et le "pas bon du tout". Le moyen de pression idéal pour la faire travailler à l'école, c'était de la menacer de ne pas se rendre au manège pour l'équitation.

A 13 ans, ses parents constatèrent qu'elle n'avait toujours pas lâcher prise avec les chevaux et furent surpris de l'entendre dire qu'elle voulait travailler dans ce domaine. Elle souhaitait faire du saut d'obstacles et aller aux jeux olympiques. Les parents de Sara n'étaient pas du tout d'accord, plus par inquiétude que par réel besoin de freiner les rêves de leur enfant. Là encore, elle utilisa l'aide de son professeure qui voyait un véritable potentiel en son élève et qui acheva de convaincre ses parents de la laisser suivre cette voie. Elle avait travaillé et étudier dur pour passer son galop 4 et à présent, il lui fallait passer le 5 en saut d'obstacles.

Le nouveau manège dans lequel elle allait se former était à 2 heures allée de chez elle ce qui demandait une nouvelle organisation à ses parents. Sara fit la connaissance d'autres cavaliers et cavalières qui venaient de milieu bien plus aisé qu'elle et avaient pour a plupart leur propre monture. Sara avait bien essayé de faire les yeux doux à ses parents, mais l'achat et surtout les soins et les dépenses pour un cheval s'élevait à beaucoup trop même pour leur deux salaires.

Elle devait donc s'entrainer avec ce qu'il restait et qui était accessible comme monture. Un dénommé Fatal Shoot, un hongre de 11 ans qui avait mauvais caractère et que personne ne voulait. Dans ce nouveau manège tout était compétitif, les autres cavaliers et cavalières avaient toujours une critique acide pour Sara. Elle ne se plaisait pas dans cet environnement, mais ses parents lui firent comprendre qu'ils ne payaient pas autant par mois pour qu'elle abandonne et que dans la vie, il fallait s'accrocher.

Sara continua de se rendre à ses entrainements et de prendre soin du box de Fatal Shoot toujours avec une friandise dont l'animal raffolait. Elle réussit à nouer un lien de confiance avec ce cheval dont elle prenait soin et qu'elle montait très régulièrement. Elle  fit des concours ou elle obtenait de très bon scores et son évolution allait dans la bonne direction.

Son destin prit un nouveau tournant alors que ses parents et elle paressaient dans le salon un dimanche en soirée. Une publicité à la télévision sur une nouvelle école hyper sélective en sport qui ne formait que les sportives vouées au J-O. Lâ encore malgré ses 80% de "pitié mes parents d'amour ! Je veux étudier là-bas!" Ses parents n'étaient pas d'accord de laisser leur seul enfant étudier et habiter dans un pays si loin dans une école qui allait leur coûter très cher.

Elle leur promit de trouver un boulot pour les aider et leur jura d'avoir des notes bien au-dessus de sa moyenne actuelle. En la voyant si déterminée, ses parents finirent par céder. Folle de joie, elle remit sa candidature pour l'académie des sports. Sara fut ramenée les pieds sur terre, son père et sa mère lui rappelèrent qu'elle n'y allait pas pour s'amuser et faire n'importe quoi et la condition pour qu'elle y reste c'était d'être une fille modèle, de faire ses devoirs, d'aller en cours et pas seulement ceux d'équitation et bien-entendu c'était d'avoir des notes élevées sur ses relevés de notes. Sara y consentait, le fait qu'elle ne parlait pas un mot de japonais ne semblait pas poser problème, des cours de rattrapage étaient prévus. Elle se débrouillait un peu en anglais, mais pas grave ! Au diable la barrière des langues, elle était bien trop excitée de se rendre dans cette académie pour y penser logiquement.

Ayant bossé double pour réussir son année au lycée avec une belle remontée de points et une moyenne de 16 tout ses cours confondus, ses parents lui firent une surprise de taille. Ils avaient piochés dans leur épargne et mit de côté depuis suffisamment longtemps pour lui offrir à présent son propre cheval. Sara passa la moitié de l'été avec ses parents à faire des recherches pour l'achat de son cheval et eut un coup de foudre pour une sublime jument de race Holsteiner à la magnifique robe grise de 7 ans qui était déjà débourrée et faisait du saut d'obstacles. Sara se pinça les joues, elle avait peur que ça ne soit qu'un rêve, mais c'était réel, ses parents avaient refusé jusqu'ici de lui acheté un cheval afin d'épargner le plus et offrir un cheval qui avait une bonne lignée et de bons traits génétiques.

Fantasy Ishername était son nom, Sara ne pouvait pas être plus ravie, mais tout cela ne lui laissait que peu de temps pour faire connaissance avec sa jument. Le caractère plutôt docile de celle-ci facilita les choses, bien que le cheval était un peu têtu lorsqu'il avait décrété qu'il avait assez travaillé. Sara n'avait plus qu'à gérer les dernières formalités, le transport par avion de sa jument, son installation dans l'écurie un jour avant le départ de Sara. Elle était fin prête à prendre en main son destin et travailler dur pour représenter l'Allemagne au prochain jeux olympique.






   

   Caractère : Sara est une adolescente aux humeurs changeantes, tantôt joyeuse et guillerette un peu enfantine, elle peut passer à l'exacte opposé et se prendre a tête avec ses parents comme la plupart des jeunes de son âge. Elle apporte beaucoup de soin en ce qui concerne l'équitation et le bien être de son cheva et elle sait pertinemment qu'il s'agit d'un être vivant qui a besoin de soin et d'amour au quotidien et non un objet qu'elle ne sort de son box que pour monter.

Elle n'est pas très assidue en cours bien qu'elle ait juré sur son honneur à ses parents de garder une moyenne élevée, elle a peur d'échouer et de devoir retourner en Allemagne. Elle n'est pas contre se faire des amies et leur proposer de longues balades en forêts.

Elle a un mode ON et OFF dans ses réactions suivants ce qui la hype ou pas du tout et elle est assez expressive pour que ça se remarque au premier coup d'oeil.


   

   Physique : Le miroir reflète ses longs cheveux blonds presque blanc dont elle est si fière et dont elle prend grand soin, ses yeux d'or dont elle ignore la provenance puisque ses parents et ses grands-parents ont des yeux bleu ou brun. Elle a une corpulence de type mince et une taille élancée qui se traduit par un 52 kilos pour 1m68. Elle a la peau pâle et met des lotions anti-acnés avant d'aller dormir car elle est sujette aux boutons en période de stress intense. Elle a également les oreilles percées et aime mettre des boucles d'oreilles et se maquiller un peu. Elle est plus pantalon que jupe dans sa vie de tout les jours, mais parfois elle fait des exceptions. Sara a quelques cicatrices sur le corps qu'elle s'est faite à cause de chutes sans gravités.


   

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