Prénom :Sayo (née la nuit)
Nom : Takema
Origines : Japonaise
Âge : 9 ans
Etudes : Petite étoile
Club : Jardinage ?
Métier : trop jeune
Aime : La lune, les étoiles et la nuit. Le toucher du bois d’une guitare. Les douces mélodies. Les voix douces. Les mochis. Jouer de la musique. Se sentir soutenue.
Aime pas : L’agressivité. Les sons stridents, Les gens bruyant. La sincérité. Qu’on la dérange. Les trucs qui piquent…
Qualités : Calme (mais pas 100% obéissante), Douce, Mélomane, Courageuse… mais pas trop.
Défauts : étourdie, initialement timide, aucun sens de l’orientation (avec exception), tétue.
Il était une fois...
Histoire : Quand j’étais petite, il m’est arrivé des tas de choses fantastiques. LA Yuri-académia en faisait partie. Mais parlons-en en temps voulu. Je suis née au Japon, non loin de Nagoya. Mon nom, Sayo, vous indiquera même quand. C’était une nuit de pleine lune, au beau milieu de la nuit que j’ai poussé mon premier cri. Mes seuls et premières années où je supportais encore ce genre de bruit. Mes parents ont voulu rendre hommage à la nuit, et ont opté pour un nom leur rappelant cet événement. Mais aussi en rapport avec sa petite particularité. C’est ainsi que Sayo fut baptisée. On découvrit vite, que j’avais un petit problème, lorsque mes cheveux poussaient totalement décolorés. J’étais une albinos de naissance.
J’étais une petite fille plutôt facile à vivre, très calme, obéissante, silencieuse, très silencieuse. Je n’étais née ni sourde ni muette, mais j’aimais le bruit du silence. Une douce mélodie sans note qui berçait ma vie. LA seule fausse note à mon profil était que j’adorais la nuit. Est-ce un défaut ? Peut-être. Je le sommeil difficile. On pourrait presque dire que j’étais une enfant lune. Cela causa quelques problèmes. Mais à côté, j’étais une enfant calme et sage. Pour moi, voir la lune dans le ciel étoilé était comme une berceuse. C’était l’histoire du soir que mes parents, une fois qu’il avait finis par comprendre, me montrait avant de m’emmener me coucher. J’étais une enfant clame, mais qui avait une personnalité bien étrange.
En grandissant, rien ne changea pour moi, si ce n’est que j’avais appris à aimer quelque chose de nouveau. Mon pépou (papi), quand il me rendait visite, tenait à me jouer de doux morceaux de guitare. J’adorais ces moments-là. Il était un vrai nuage de douceur quand la nuit, la lune se refusait à moi. Mon pépou était vraiment génial. Le meilleur des pépou. Mémou me disait qu’elle adorait me voir allongée à côté de lui, l’air toute souriante, en train d’écouter ses chansons. Quand pépou me montrait sa guitare, j’aimais poser la tête sur le bois de cette dernière. Son bois était doux, bien qu’un peu abîmer par l’âge. J’étais une petite fille calme, venant d’une famille très calme, et je m’étais ouverte à la musique.
Pépou a tenté de m’apprendre à jouer de la guitare dès l’âge de 5 ans. La guitare était trop grosse, mes doigts assez fragiles avaient de grande difficulté à frotter les cordes. Il m’avait offert un médiator. Un médiator au motif de lune. C’était mon premier plus précieux cadeau. Mon encouragement à apprendre. On jouait au début de la nuit, sous la lune, avant que je m’endorme. J’adore mon pépou. J’étais une petite fille calme. Je jouais de la musique. La musique me transformait en retour.
L’école était un endroit bruyant. Il y avait des personnes embêtantes, mais qui m’ont rapidement laissé tranquille en voyant que je ne m’intéressais pas à elle. J’étais, « bizarre » pour elles je n’aimais également pas trop l’école peut-être parce que je n’y étais jamais la nuit. Il y avait parfois de la musique à y faire… Mais c’était des sons désagréables que les autres faisaient. J’ai eu quelques amies. Elles étaient toutes très calmes. Une aimait les livres. Moi je les trouvais compliquées. Mais comme elles les aimaient, alors j’aimais les livres. D’autre étaient timide comme moi, sans activité préférée. Elles dessinaient, parlaient de dessin animé. J’aimais les écouter, elle était tranquille, elles étaient mes amies. Une aussi était un peu bruyante. Je m’étais déjà disputé avec elle car elle faisait trop de bruit. Pourtant, parfois, elle me défendait quand je me faisais embêter. Elle était gentille. Elle aimait la musique. Elle venait parfois écouter chez moi quand je jouais avec pépou. Elle m’encourageait. Elle faisait du bruit, mais j’arrivais à l’apprécier. C’est pourquoi je l’aimais aussi. J’étais une petite fille calme, et je m’étais fait des amies pas toujours calmes.
Vers mes 7 ans, les devoir de l’école me faisaient du mal. Il durait longtemps. Ils étaient durs… J’étais pas très forte dans toutes ses matières sans sons. Même si je m’en sortais de justesse. Mes parents voulaient que je réussisse. Il était dur avec moi pour que je réussisse. Quand je refusais en boudant, il me privait de lune. Il m’arrivait néanmoins de sortir seule dans le jardin de notre grande maison pour l’observer. Mais je me faisais alors toujours réprimander. Et quand trop de soirs sans lune se passaient, faute aux nuages, il m’arrivait de piquer des crises plus facilement. La présence de la lune impacte sur mon moral, ce n’était pas ma faute. J’étais une petite fille calme, mais je savais aussi désobéir, la lune est mon histoire, personne ne pouvait me prendre la lune.
Malgré ces quelques dérapages, l’âge de mes 8 ans approchait. Je jouais de la guitare. J’aimais beaucoup cela. Mes parents, et, papou et mémou aimait eux aussi. Ils ont discuté avec Papou. Il pensait que j’avais du talent, bien que je sois encore toute petite.
Il leur parlait de me laisser apprendre la musique quelque part. Mais mes parents avaient peur de me laisser seule. J’étais gentille, j’étais trop calme, j’étais sûrement à leurs yeux trop influençables. Mais moi j’aimais jouer, j’aimais papou, s’il disait que je pouvais jouer. Je voulais essayer de jouer aussi bien que lui. Je voulais apprendre. J’étais calme, mais j’avais beaucoup de demandes, et mes parents durent les endurer.
Au final, avec l’aide de papou. Mes parents s’étaient finalement résolus. Je leur avais joué des musiques de Papou. Mes parents aimaient quand je joue. Il avait compris que j’aimais la musique autant que la lune qui me berçait encore alors tous les soirs. J’avais été gentille, j’avais été sage. Mes parents avaient peur que je sois seule. Mais ils ont trouvé les infos sur la Yuri-académia, et leur cursus des petites étoiles. Il savait que je serais avec d’autres filles comme moi, il savait que celles qui veilleraient à la sécurité des petites seraient expérimentées dans un tel lieu d’excellence. Ils hésitaient pourtant encore un peu. Mais mon envie les fit céder. C’était la première fois que j’étais si enthousiaste face à l’envi d’étudier. Il semblait comprendre que je serais une fille calme, une fille qui voulait la musique, une fille qui voulait prouver à son papou qu’elle pourrait jouer encore mieux que lui. Une fille qui parvenait pour une fois, à faire passer la lune au second plan, même si cette dernière la guiderait dans chacun de ses pas. Une fille que son papou gâta en lui offrant une guitare qu’elle pourrait utiliser plus simplement. C’était son second plus précieux cadeau. Une fille qui allait bientôt devoir faire un bout de chemin par elle-même, mais qui en était contente.
Ainsi, je fus inscrite à la Lillian Gakuen, là où allaient les petites pousses qui, comme moi, avait une passion. J’y serais une petite étoile. J’aime les étoiles. J’aime la musique. JE ne voulais plus qu’une seule chose, aimer ce que j’allais trouver là-bas. Je serais une fille calme, mais pas trop, une fille qui voulait apprendre, une fille qui voulait trouver de nouvelles amies, même si c'était triste de devoir dire au revoir à ses anciennes amies. Le soir de cette décision, la lune était alors pleine. J’y vu comme un bon présage. La lune m’accompagnera où que j’aille. Il ne me restait plus qu’à découvrir ce que j’y trouverais.
Plutôt modèle ou rebelle ?
Caractère : Pour faire un petit tour du caractère de la Sayo de 9 ans, c’est une petite fille qui aime la tranquillité. Mise à part quelque petit point, elle n’est pas très compliquée à vivre, tant que l’on ne fait pas trop de bruit. Douce et timide face aux inconnues, elle a du mal à faire le premier pas. Mais elle sait faire preuve d’un peu de courage face à d’autres personnes timide, avait lesquelles elle s’entend le mieux. A contrario, elle ne supporte pas tout ce qui fait trop de bruit, les klaxons, les grosses musiques trop fortes, cela arrive même qu’elle soit effrayée voir pleurer lorsque les gens se mettent à crier, surtout si elle ne comprend pas pourquoi.
Sayo aime la musique, c’est une fan de toutes les musiques, tant qu’elles ne sont pas violentes ni auditivement insupportables. Elle apprécie particulièrement les musiques traditionnelles, et celle que lui a appris son papou. Elle est attirée par les personnes qui, comme elle, aiment la musique. En général, elle aime recevoir des compliments, même si elle ne le dit pas tout haut.
Sayo aime la nuit et la lune. Elle pourrait être un peu difficile avec l’heure du coucher, faire preuve de caprice. Tout ce qui a un rapport avec la nuit l’intéresse grandement. Elle aime le camping grâce à cela. S’endormir tôt et vite n’est pas si simple pour elle. Elle pourrait très bien vous embêter, petite pensée aux surveillantes. Mais c’est comme ça, Sayo aime la nuit, et c’est ainsi depuis qu’elle est née.
Sayo est étourdie. Ça lui arrive d’oublier des choses… Sortir avec une chaussette, oublier son couvre-chef. Mais là où cela lui joue le plus des tours, c’est qu’elle n’a aucun sens de l’orientation. Sayo se perd facilement si elle est seule. Parfois, lorsqu’elle a la tête dans les nuages, elle pourrait même perdre son groupe. Ne lui en voulez pas trop si elle finit, perdue, au mauvais endroit… Elle a vraiment du mal à se repérer. Heureusement, que cela s’amenuise avec le temps lorsqu’elle emprunte encore et encore les mêmes chemins.
Sayo n’aime pas les choses qui piquent. Que ce soient les insectes, mais aussi des objets piquants dans tous les sens du terme. Le piment, c’est non, les aiguilles, elle préfère rester loin. Le chardon, elle fait vraiment très attention.
Sayo est un peu… Courageuse disons. Comme dit plus tôt, elle fera un effort pour aller voir d’autres personnes timides. Elle est capable de protéger une amie d’un chien, mais en tremblant… Il se peut qu’elle en vienne à faire une escapade si on la lui propose, mais toute hésitante… Elle est courageuse, mais il ne faut pas non plus trop lui en demander… Cela ne la dérangeait néanmoins pas de sortir en cachette pour aller voir la lune… Mais ne le dites à personnes.
Pour finir, Sayo est … Ah ! Vous pensiez que je n’allais plus le dire. Sayo est calme tout simplement. Aime le calme, vivre au calme, tiens à son calme. Et pourtant, il lui arrive de faire quelque petite entorse à cela. Sayo est encore jeune après tout.
Miroir mon beau miroir
Physique : La première chose qui vous saute aux yeux, c’est les long cheveux blanc, mais très légèrement rosé de Sayo. Comme dit dans son histoire, elle est née albinos. Ses cheveux ne colorent pas, et garde une teinte totalement blanche. Mais depuis petites, elle a pris l’habitude de légèrement me teindre les cheveux, pour faire ressortir un petit reflet rosé. Comme pour dissimuler un peu ce côté. Mais cela ne cachait pas vraiment les faits. Ses yeux prirent quant à eux une teinte bleue très claire, mais à une sorte de mi-chemin entre le blanc et le violet pour être plus précis.
Sayo est encore petite, 1 mètre 17 environ mais aussi légère qu’une plume. Elle ne court pas très vite, s’épuise même rapidement. Elle n’est pas très sportive.
Elle a de petites mains toutes douces et dont elle prend soin, utilisant toujours son médiator pour jouer à la guitare. Elle prend soin de son apparence et surtout du lisse de sa chevelure.
Elle s’habille de vêtement peu coloré, souvent assez pale en couleur, tapant sur des tons de bleus et de blancs. Elle porte souvent des robes assez classiques lorsqu’elle n’est pas en uniforme. En réalité, juste rien de très travailler en vêtement. D’un autre côté, ses hauts sont avec des manches souvent assez longues pour lui permettre de profiter de la nuit, malgré la fraîcheur. Il lui arrive aussi de mettre des petits pulls à capuche, surtout quand le temps se gâte, et l’hiver.
Avec elle, elle porte son médiator aux motifs lunaires en collier. Elle a aussi Sa guitare au bois brun avec un cœur blanc qu’elle transporte dans un étui bleu à sangle pour mieux la porter.
Qui es-tu vraiment ?
Age : [26]
Avatar : [JUN GOTOU Tenshi no 3P]
Localisation : [toujours pareil]
Pourquoi ce forum ? : [Par envie]
As-tu déjà fait du RP ? :
Voudrais-tu avoir une marraine sur le forum ? : pas forcement
Code de validation :
OK BY LENA PSi tu nous montrais ce que tu sais faire ? :
- Spoiler:
Le grand jour était arrivé, on était en plein été, et la Lillian Gakuen permettait d’accueillir les petites étoiles même en cette période, surement pour que les nouvelles puissent s’acclimater. J’avais dû dire au revoir à mes parents en partant ce matin tout deux travaillant et n’ayant pu se libérer. C’est Papou qui m’avait accompagné en train jusqu’à l’Académie. Heureusement que le lieu était desservit par les trains. C’était la première fois que je le prenais en plus ! C’était amusant, et j’avais vu de beau paysage plein de paysage. Papou m’avait pendant tout le voyage montré de jolies choses. Moi, collée à la vitre, j’avais juste observée, contente de voir de nouveau paysage. Le voyage m’avait même fait oublier le fait que, malgré la présence de Papou, on ne pourrait pas jouer de musique parce que l’on était dans le train et que cela gênerais les autres… Pourtant, j’avais tout avec moi. Mes deux cadeaux. Mon médiator à motif lunaire était attaché à mon cou. Ma guitare elle était sous le siège dans son étui. On m’avait dit que je devais la porter moi-même. C’est lourd à porter une guitare quand on se déplace. Il y avait une lanière pour m’aider. C’était lourd, mais c’était ma guitare et mon cadeau. Je devais faire un effort, surtout que je n’aurais plus le moindre soutient à destination. Mais c’était mon choix.
Arrivé à la gare, Papou me guida hors du train et de la gare. C’est lui qui tirait ma valise à roulette. À mon épaule, l’étui et la guitare. Je me sentais bien. Pourquoi ? Parce que je voyais d’autres personnes avec des étuis d’instrument avec eux. C’était des choses assez rares où j’habitais. Alors en voir de partout, c’était impressionnant. Mais il n’y avait pas que ça. Les gens semblaient tous rayonner ici. Par contre il y avait aussi du bruit de partout… Mais ça restait pas si désagréable que ça.
Papou m’accompagna jusqu’à l’accueil qui gérait l’arrivé des petites étoiles. J’adorais vraiment ce nom ! J’allais être une étoile ! Papou pour autant avait décidé que c’était à moi de me présenter à la dame de l’accueil. Je… c’était intimidant… Mais je devais trouver le courage de le faire. Papou savait que je devrais me débrouiller ensuite.
-Bon… Bonjour madame…
Une de mes mains occupée par ma guitare, je mis mon autre main à moitié devant ma bouche l’observant à demi…
-Je m’appelle Sayo. Je peux aller à la Lilane Académie ?
Guu… j’avais bafouillé… Dès le début. Je jetais un regard à Papou qui me rendait un sourire encourageant. Tempi pour la bafouille, fallait que je continue.
-Je veux devenir une joueuse de guitare comme Papou. Je… Je m’en remets à vous !
La main de papou tapota gentiment ma tête comme pour me féliciter et un sentiment de joie gonfla dans ma poitrine. J’avais réussi. J’étais contente. J’avais qu’une hâte, me faire des amies qui aiment la musique. Peut-être jouer avec elle aussi.
On me souhaita la bienvenue. Mais d’un autre côté, quitter Papou me brisait aussi le cœur. Papou m’avait tout appris. Papou était si gentil. Mais je savais qu’il ne pouvait pas rester ici. Mais j’eus du mal à contenir ma tristesse.
-Au… Au revoir Papou… Lui disais-je en venant lui faire un câlin
-Prends du bon temps ma petite musicienne. J’ai hâte de t’entendre jouer la prochaine fois.
-Uh, je hochais la tête, je ferais de mon mieux pour être sage.
-C’est bien, croit en ta bonne étoile, et entend toi bien avec les autres et les adultes qui te soutiendront.
-D’accord Papou.
La dame de l’accueil me demanda de la suivre, je fis un bisou à Papou, puis un geste d’au revoir. C’était dur, mais c’était ainsi que débutait ma petite aventure. C’était à moi de jouer. La lune me portera. Je ne pouvais que réussir, alors, c’est partit.